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greg & thadeus ϟ you were always gold to me
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
Thadéus P. Pritchard
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Message Posté Dim 22 Déc - 15:50.
Brothers in more than name
You would kill for me and knew that I'd do the same

   

   
informations particulièrement pas importantes
ϟ pritchard brothers (a)
   ϟ  étiologie du statut subjectif ▬  privé flashback
   ϟ  datation approximative du moment exact ▬ début février
   ϟ  cadran lunaire appréciable ▬ début de soirée
   ϟ  météorologie sorcièrement acceptable ▬  pluie
   ϟ  saison saisissante et palpitante ▬ entre la saison 2 et 3
   ϟ  intrigue globalement intriguante ▬  entre la saison 2 et 3
   ϟ chatiment divin exigible ▬  nein èé
   
Thadéus P. Pritchard
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Message Posté Dim 22 Déc - 16:31.
All my life I've never known where you've been. There were holes in you, the kind that I could not mend.


Il y a une loi universelle que l'on essaie toujours de suivre. Une loi qui semble maudite et ridicule. Un sentiment qui se développe de plus en plus au fur et à mesure que le temps passe. C'est la loi qui nous unit à notre famille. Comme si un lien invisible nous montrait à quel point on ne peut combattre ni le temps, ni la crainte elle-même. On reste terrifiés de tout perdre, et terrifiés de tout gagner. On hurle à l'idée de mourir. On hurle en priant s'en sortir. On sacrifie des millions des personnes en se disant que c'est la bonne solution. Que c'est la cause juste. On s'enfonce un peu plus dans nos mensonges et nos inventions, en se rappelant que c'est la dernière fois que l'on pourra s'en sortir. On se cache, dans l'idée que ça sera suffisant. On imagine que les combats ne sont que des formalités. Du sang qui se perd à cause d'une guerre qui n'avait pas de sens, à part pour moi. J'étais celui qui voulait le pouvoir. Celui qui désirait la vérité. Celui qui attendait une solution perdue depuis trop d'années. J'étais à terre, face à toutes les histoires qui ne pourraient jamais devenir réelles. On donne des noms aux héros, comme s'ils n'étaient que des images perdues dans le passé. On donne des visages aux menteurs, comme si l'on pouvait réellement les qualifier. On crée des histoires pour se rassurer, et on ignore à quel point notre capacité à perdre est grande. On se rapproche de l'illusion du temps, et on s'écrase en imaginant à quel point notre destin aurait pu changé si on avait été capable de prendre les bonnes décisions. Capables de devenir ce que l'on attendait de nous. On modifie le présent pour se rassurer avec le passé. On modifie l'avenir en se disant qu'il n'est qu'une illusion de plus. Une chance que l'on ne peut saisir. On a peur de savoir ce qui aurait pu changer. Ce qui aurait dû être. On prétend que les rois et les reines sont si nobles qu'ils sont incapable d'ôter la vie de leurs adversaires. La différence, c'était que je détruisais tout sur mon passage. Il n'y avait pas de solution plus noble que cela. Il n'y avait pas de plus noble cause, à part celle de la vérité. Celle que je pensais poursuivre. Je leur mentais à tous en espérant que ça serait suffisant. En espérant que l'avenir serait autre chose qu'un champ de ruine. Je les entendais clamer mon nom, comme si j'étais un guerrier, et c'était là que je me disais que la véritable solution se cachait autre part. Elle se cachait derrière la vérité de tout ce que je n'aurai pu maîtriser.

Et la seule faiblesse que j'avais, c'était cette loi qui obligeait ma conscience à protéger la famille que j'avais détruite de toutes pièces plusieurs fois auparavant. Et je comprenais juste que parfois, c'était impossible. Parfois, il fallait apprendre à laisser tomber, même si ça voulait dire que ça serait toujours trop. Qu'il n'y avait pas de réel soulagement à part la douleur qui nous a été procuré. J'étais arrivé à l'hôpital aussi rapidement que possible. On m'avait dit que c'était grave, et j'ai prétendu que tout allait bien. Que je ne faisais que mon devoir. Alors que je comprenais pas pourquoi est-ce que le temps pouvait m'empêcher de survivre. J'avançais seul dans un couloir sombre que personne ne pouvait voir. J'avançais vers autre chose sans savoir pourquoi est-ce que je le faisais. Comme si au fond, j'étais destiné à être cet homme là. Comme si au fond, j'étais destiné à garder toute cette faiblesse. Comme si je n'étais rien de plus qu'une nouvelle illusion. Qu'une nouvelle histoire qu'il fallait attendre de retrouver et de comprendre. Je me cachais derrière des promesses que personne ne pouvait comprendre. Les choses changent, et les peuples s'entre-tuent pour le bien et pour le bonheur du mal. Il n'y avait pas de cause plus grande que la mienne, et je semblais en être si persuadés que c'était peut-être trop tard pour reculer à présent. Et peut-être que ça l'a toujours été, depuis le départ. L'espoir grandissait en nous. Et il perdurait. Comme si rien ne pouvait réellement l'empêcher. Pas cette fois. Je suis entré dans la chambre d'hôpital, en me disant que rien n'était joué. Que je pouvais contrôler le monde si je le désirais. Mais la vérité, c'est que je continuerais toujours à courir vers un but qu'on ne maîtrisait pas totalement. Vers une histoire qui se développait dans le mauvais sens. Soudain, Gregory a commencé à se réveiller. « Gregory. How are you feeling ? » J'ai déposé ma main sur son épaule avant de la retirer. « For a moment I thought you were dead, brother. » C'était ça le soucis, quand on dirige toute une nation. Quand on contrôle un empire. C'est que quoi qu'il arrive, on ne peut pas prévoir et anticiper la réaction des autres. De ceux que l'on appelle alliés. On ne peut pas protéger nos faiblesses face au monde entier. On ne peut qu'imaginer ce qui se serait passé si on avait agi autrement.

greg & thadeus ϟ you were always gold to me

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