31 janvier. Il faisait déjà nuit depuis peu lorsque les premiers bruits de pas résonnèrent dans les souterrains de Big Ben. Un sorcier menaçait une femme de sa baguette en l'obligeant à avancer sous terre. C'était le grand soir. La mission de la résistance prenait fin. Les quatre sœurs étaient sur le point d'être réunies. La Boite allait être refermée. Pritchard allait tomber. La guerre était presque terminée.
Mais rien ne se déroule jamais comme prévu, chez les sorciers. Des déflagrations provenant de l'arrière alertèrent l'homme qui pressa le pas de sa prisonnière. Les frères Hemingway étaient ici, eux aussi. D'autres pas foulèrent le sol humide des souterrains et menaçaient à chaque instant de rattraper les premiers. Il ne fallait pas emmener les intrus ici. Il fallait les éliminer. Il faut les éliminer, avant qu'il ne soit trop tard.
Mais Pritchard avait été alerté. Les premiers Aurors et Traqueurs venaient d'arriver. Les résistants n'étaient pas habitués à un tel élan de magie, et n'avaient pas prévu leur arrivée aussi rapide. Il fallait se dépêcher, désormais. Refermer la Boite. A tout jamais.
HRP : L'événement suit la suite logique des précédents sujets de capture des sœurs. Il s'agit d'une véritable course-poursuite jusqu'à la crypte. Les Aurors et Traqueurs peuvent désormais également intervenir, ainsi que des résistants en renfort des missionnaires. Dominus Tenebrae animera ce sujet. L'objectif des résistants est de réunir les sœurs à la crypte ; l'objectif des autres est de tout faire pour les en empêcher. Il est désormais temps de vous battre...
Le staff de Vulnera Samento.
January D. Lockhart
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Posté Lun 19 Aoû - 10:52.
∞ i've loved and i've lost
explosions on the day you wake up and you need somebody
Le monde ne tourne pas rond, et les lumières, qui sont pourtant là pour nous éclairer, ne font que nous guider dans un autre labyrinthe. Épreuves cruelles qui ne permettaient aucune autre chance. C'était une façon de tester les êtres humains, leur montrer que quoi qu'il arrive, rien n'est acquis, même la plus insignifiante des chose. Et ils montent sur leurs grands chevaux, misérables qui n'ont plus qu'une idée en tête, montrer qu'ils gagneront d'une façon ou d'une autre. Aucune hésitation. Ne pas trembler face à l'ennemi, se montrer le plus fort et le plus rapide possible afin d'atteindre et d'attraper définitivement la proie avant l'autre. Il ne s'agissait que d'une grande chasse sans fin, qui se poursuivrait jusqu'à la fin des temps. Ce n'est pas une question de jeunesse ou d'honneur. C'est juste de l'audace. Prouver encore et encore que l'être humain n'est pas un animal. Pourtant, dans la guerre, on ne voit que ça. Des bêtes qui se pourchassent et qui s'enfuie, qui jouent à celui qui restera en dernier. On écrase les autres pour parvenir au sommet. Et on découvre le véritable sens du mot sacrifice. Sacrifier, c'est abandonner la chose qui nous est le plus précieuse. Il n'y a qu'au bout d'une lente et douce agonie, au bout du deuil de toutes les choses qu'on a laissé sur la route, qu'une nouvelle résolution peut naître. Une dévotion éternelle à quelque chose de plus grand, de plus important, de plus beau. Un devoir presque moral de voir le monde s'écrouler pour renaître de ses propres cendres.
Le portoloin nous avait amené dans les souterrains de Big Ben. Et c'était fou de voir combien l'histoire se répétait. Parce qu'il y a un an de ça, j'étais perdue dans ces mêmes souterrains. Sauf que cete fois, c'était moi qu'on poursuivait. C'était moi qu'on cherchait à empêcher d'accomplir la seule chose qui pourrait nous sauver. Ou nous détruire. Pile ou face. Droite ou gauche. La vie est une succession de choix qui déterminent notre destin. Des paris sur un fil toujours trop fin, trop court. Des paris absurde parce qu'à chaque fois qu'on pensait courir et lui échapper, on s'enfuyait dans ses bras, à la mort. La potion de vieillissement disparaissait, et je retrouvais peu à peu mes forces. J'étais derrière Arya, mon bras enroulé autour de son cou pour l'empêcher de partir. Je ne me reconnaissais plus, mais ça n'avait plus d'importance. Après ça, tout serait fini. Après ça, plus rien ne compterait réellement. Après ça, je pourrais crever en sachant que j'avais fait le bon choix. Je me suis retournée pour voir que Solomonia n'était pas seule. John avait dû s'accrocher à elle lorsqu'on avait utilisé le portoloin. Et déjà, j'entendais l'écho de bruits de pas. Trop nombreux pour qu'ils ne soient que ceux des résistants. Alors j'ai regardé Solomonia, et j'ai compris qu'elle me donnait la permission de fuir. Il fallait à tout prix les réunir dans la salle du reliquaire, sinon on aurait fait tout ça pour rien. Alors j'ai pas regardé derrière moi, et j'ai foncé. J'ai tiré Arya avec moi. J'ai espéré qu'elle ne se débattrait pas, mais c'était vain. J'ai essayé de conserver le silence. J'ai essayé de m'armer d'une patience. J'avais plus rien. C'était mon dernier combat.
Et chacun de mes pas était une douleur plus forte. On pouvait sentir les vibrations magiques de la Boîte de Pandore jusqu'ici. Enfin, je pouvais les sentir. Parce que j'avais été là le soir où elle était ouverte. Parce que je connaissais sa puissance. Parce que je savais que plus rien ne serait jamais comme avant. J'avançais, j'avançais tant bien que mal, parce qu'Arya n'était certainement pas du même avis que moi. Plus je marchais, plus je suppliais les cieux de nous accorder cette petite victoire. Cette dernière petite victoire. Mais je savais que tout avait un prix, et que je devrais payer le mien. Parce que le sacrifice, dans son sens le plus strict, est quelque chose de beaucoup plus cruel. C'est donner la seule chose dont on ne pourrait jamais se séparer pour l'achèvement d'une cause absolue. Quelque chose qui ne peut pas être acquitté par une simple promesse. Un serment, aussi solennel soit-il, ne demande rien en échange. Un sacrifice, en revanche, demande une perte fatale.
Ce soir, en refermant la Boîte de Pandore, en mettant fin à la magie et en montrant notre force à Pritchard, j'allais mourir. Ce n'était pas une affirmation. C'était une demande.
B. Solomonia Marcovic
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Posté Lun 19 Aoû - 14:49.
« Into the nothing. »
J'espérais que quelque chose allait changer. J'espérais réellement que cette fois-ci, on allait s'en sortir. Sauf que c'était pas assez, l'espoir. Ça a jamais été assez. Cette fois-ci, on allait peut être se retrouver à la place de tous ceux qui ne rentreraient plus jamais. Cette fois, on devait prendre les décisions qu'on aurait jamais voulu prendre. On devait faire tout ce qui nous effrayait. On n'aurait aucun trophée. On aurait pas de médaille. On aurait seulement la joie d'être encore là, après la fin. D'être là quand les cadavres seraient trop nombreux. On aurait seulement l'espoir, parce que c'était la seule chose qui pouvait nous permettre de continuer à avancer. Et le plus terrible dans tout ça, c'est qu'on savait qu'on avait choisi une cause pour laquelle on serait capables de mourir. Une cause pour laquelle on devait se battre jusqu'à la fin, même ça signifiait regarder tous nos proches disparaître à cause de ce choix. À cause de cette décision qu'on a décidé de prendre. On nous avait promis des tas de choses. On nous avait promis la victoire. Mais ce n'était qu'un mythe. Un mythe qu'on avait cru parce qu'on était trop jeunes pour réaliser qu'il était faux. C'était la légende qu'on avait entretenu. C'était terrible de découvrir qu'à chaque fois que l'on pensait s'en sortir, on tombait. On a pris le portoloin, et les effets de la potion avait totalement disparu pour moi. J'ai senti que j'étais retenue par le bras de quelqu'un d'autre. J'ai lâché Arya, et j'ai regardé January. Elle devait continuer pour nous deux. C'était la seule chose qu'on avait.
Je suis restée là. Je l'ai regardé courir, et je savais que la meilleure chose que je pouvais faire, c'était lui offrir du temps. Un temps précieux qu'elle pourrait utiliser afin d'accomplir ce pourquoi on était là. C'était l'unique promesse que je pouvais lui faire. Même si ça signifiait que je pouvais perdre. Même si ça signifiait que je pouvais me retrouver dans le néant. Même si j'accompagnais la pile de cadavre qui serait brûlée en signe de victoire et d'honneur. J'avais pas le temps de penser à tout ce que j'allais perdre. J'avais pas le temps de penser à tout ce que j'avais laissé derrière moi. Les excuses que je n'ai pas eu le temps de formuler. Les erreurs que je n'ai jamais pu rattraper. Les mots qui sont restés au fond de ma gorge jusqu'à la fin. Écrasés par ma fierté. « Et dire que je pensais qu'on s'était débarrassé de toi. » J'ai réussi à attraper ma baguette pour la pointer vers lui. « C'est même pas la peine d'essayer quoi que ce soit. C'est trop tard. »
♦ Nota Bene : recherches de liens en tout genre. : vos relations principales ici : bon pour une nouvelle baguette
Posté Lun 19 Aoû - 23:11.
Il y a peine cinq minutes, je quittais le ministère avec comme espoir, que je savais vain cependant, de réussir à fermer l'œil cette nuit. Tout c'était enchaîné très vite pour tout dire, dans ma tête comme dans les faits. Ces deux femmes âgées c'étaient approchées de moi, femmes qui paraissaient désormais sous leur vrai visage, quarante années de moins. Ils s'agissaient de résistantes, l'une d'elle étant bien évidement January Lockhart. Je ruminais, j'aurais dû me montrer plus prudente. Mais la prudence aurait-elle réellement changée quelque chose au cours des événements ? À voir la détermination de mes kidnappeuses j'en doutais. La prudence ne servait a rien face à la détermination et au sentiment profond que notre cause est juste. Les causes justes nécessites parfois le sacrifices de certains pour le salut de l'humanité. Je ne comprenais que trop bien ce concept et à voir la tête des résistantes, je me dis que je me tenais exactement en présence de ses pauvres âmes qui plient sous le poids du devoir de sacrifice.
J'avais à peine eut le temps de m'étonner de la présence de John que déjà, sans avoir eu le temps de le débattre je me trouvais dans des souterrains qui m'étaient inconnus. J'essayais de me débattre en vain, impossible de mettre la main sur ma baguette, elle avait sûrement dû tomber quand on m'avais aveuglée avec la poudre d'obscurité instantanée. J'avançais plus ou moins docilement, faisant bien comprendre que je n'approuvais pas vraiment d'être trainée ainsi, attendant le moment propice pour me débarrasser de la Lockhart qui m'enserrait le coup quitte à agir comme une moldue et me servir de mes poings. Des éclats de voix m'empêchèrent de réfléchir plus longtemps à ma stratégie d'évasion, January accéléra le pas. Je compris alors que nous n'étions pas seules, John, les aurors, les traqueurs, ils étaient tous là. Tentant de ralentir un peu plus la cadence j'en profitais pour pose la question qui le brûlait les lèvres depuis un certain temps, dans l'espoir que cela permette à mes collègues de nous rattraper : « Que voulez-vous obtenir de moi ? » et comme je ne m'attendais pas à recevoir de réponse j'enchaîna « Libérez-moi et je vous jure de vous laissez partir, je retiendrai mes hommes le temps que vous vous sauviez. Nous pouvons sembler ennemie mais, sincèrement, je vous comprend, nous, sorciers comme moldus, ne résistons jamais à l'idée de nous battre, de nous sacrifier pour une idée qui nous semble juste ... » J'aurais pu continuer ce petit laïus philosophique encore un bon moment mais les premiers sorts fusèrent. Une sensation indéfinissable s'emparait de moi au fur et a mesure que nous avancions, non pas seulement le brouhaha derrière moi mais la sensation que l'atmosphère s'était alourdie, chaque pas semblait me demander plus d'effort comme si une force invisible m'empêchait d'avancer. Je priais juste pour que ce ne soit pas un nouveau délire, le moment n'était pas réellement le propice, si jamais il en fut un. J'avais réussi à garder mon sang froid sans trop de difficulté jusqu'à présent mais si le Serpent, comme je l'appelais, se réveillait, alors, je ne répondrai plus de rien ...
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Posté Mar 20 Aoû - 6:09.
Il ne put vraiment rien comprendre à la suite des événements. Blessé et prisonnier des lianes, il fut malgré tout happé dans une sorte de transplanage indomptable et l’atterrissage fut violent. Il ne put retenir un gémissement plaintif et remarqua alors encore son fleuret planté dans sa cuisse. Il l’attrapa et le retira, étouffant un cri de douleur avant de regarder autour de lui. « Les filles ? ça va ? » Il se redressa avec peine et rangea son fleuret dans son fourreau, il avait assez de soucis comme ça et attrapa sa baguette en bon sorcier qu’il était. Il ne put s’empêcher de penser aux moldus qui vivaient normalement sans savoir ce qui se tramait dans le monde magique. L’horreur qu’ils devaient tous affronter depuis quelques temps. Il voulut faire un pas mais sa jambe le fit souffrir instantanément. Il posa sa main sur la plaie à sa cuisse et soupira faiblement avant prendre une partie de son pull et de le déchirer afin de se faire un bandage de fortune. Heureusement qu’il lui restait un t-shirt sur le dos pour ne pas passer entièrement pour un sauvageon. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, il prit le temps de vérifier que la rousse était entière. Il attrapa Marie par le bras avant que celle-ci ne puisse leur échapper et la menaça avec sa baguette. « On compte pas te tuer, on a besoin de toi… » Elle était une sorcière désarmée face à un homme désespéré qui n’avait plus peur de mourir. C’était peut-être pour ça qu’il était efficace. Il avait compris que Pritchard n’allait pas en rester là non plus. « On doit avancer. » Il boitait terriblement mais pris la tête de leur trio. Cependant, en voyant January courir, il comprit. « Rosaleen… Prends Marie et surveille-la. Violet…. On doit donner du temps à Janu. » Il lui montra sa jolie brune et Solomonia qui était déjà prête à combattre. « Les aurors vont arriver, on sait les affronter et visiblement, la magie n’est pas aussi détraquée à l’institut, on va y arriver. » Il essayait de passer outre la douleur, c’est alors qu’une voix se fit entendre, une voix qu’il s’était promis de faire taire à jamais, une voix qui l’enragea. « Arya…. » Ses poings se serrèrent, sa mâchoire se crispa, son regarde changea. Il en oubliait la mission, son devoir, son but, sa co-équipière, ses bonnes paroles. Prêt à la tuer, il avançait baguette en main jusqu’à ce qu’une main ne lui agrippe le bras pour le retenir. « Ressaisie-toi ! »« Lâche-moi Violet ! »« Et te laisser mettre en péril ce pourquoi on risque notre vie depuis des semaines ? Hors de question ! »« Tu ne comprends pas ! »« Bien-sûr que si ! c’est toi qui agit comme un idiot ! Reprends-toi ! »« C’est de sa faute si… Australe… et j’ai juré de la tuer ! »« Si tu la tues, tu nous condamnes tous ! Tu n’es plus l’homme que j’ai connu, l’homme qui m’a prise sous son aile, l’homme qui m’a appris à me battre et à me défendre pour ce que je croyais être juste ! l’homme toujours souriant qui malgré les aléas de la vie restait quelqu’un de bien ! Tu n’es plus cette personne Sergeï et je trouve ça vraiment triste. La culpabilité et les remords te rongent et te détruisent ! Je ne te laisserai pas risquer ce qu’on s’acharne à faire alors si tu veux la toucher, écarte-moi avant ! » Il fixait son élève à la fois énervé contre elle et incroyablement fier. Elle avait cette rage de vaincre, cette volonté de fer en ce qu’elle croyait. Tout ce qu’il avait perdu. Il agissait comme un automate dénué de sens, elle avait raison. Il baissa son regard puis sa tête. « Je suis désolé… tu as raison… » Il se tourna à nouveau, essayant de ne pas penser à la brune, au 31 décembre ou à la mort de son amie. Il était un résistant prêt à se soulever contre l’autorité pour que la justice et le bien puissent reprendre le dessus. Il devait agir en équipe et non penser à son ressentiment. Baguette en main, il tentait de rester debout coûte que coûte pour faire face aux aurors et autres sorciers qui allaient en vouloir à leur peau.
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Posté Mer 21 Aoû - 11:19.
So run like hell, sleep with one eye open. I can't forgive, or forget you. We'll tell everyone the damage done. Deep down you can't stop me, you can't stop me now. I'm made of wax.
C’était un cauchemar. Un foutu cauchemar duquel tu ne parvenais guère à t’extirper, perdu dans les limbes sombres et effrayantes, oppressantes autour de ton corps faible. Et tandis que le portoloin vous emportait vers d’autres lieux bien plus inquiétants, les souvenirs des évènements précédents te submergent de leur force, à tel point que ton cœur menace de s’échapper par tes lèvres que tu serres de désespoir – les voix tranchantes et amères, les visages fatigués, comme sculptés dans la roche, sur lesquels luisaient pourtant ces regards farouches et déterminés. Le tourbillon infernal vous avait happé tels de vulgaires poupées, impuissantes victimes d’une destinée trop sombre – et la chute n’en est que plus terrible. Alors que tes pieds touchent sol dans un écho mat et douloureux, tu te sens pris de vertiges incontrôlables qui font bourdonner tes oreilles, tes opales cristallines assistant à l’enlèvement de ta protégée. Les salves de magie émanant de la Boîte de Pandore te font suffoquer, tu inspires, manques d’air, sens ton cœur émettre un raté – tes doigts se crispent un peu plus sur ta baguette mais tu sens tes forces t’abandonner. Tu en oublies les raisons de ton combat – es-tu ici dans l’unique intérêt de ton paternel, afin d’accomplir la lourde mission qui t’a été confiée depuis trop longtemps ? Tu te demandes encore si tu fais le bon choix – l’angoisse s’infiltre, vicieuse, telle un serpent de glace contre ta peau. « Et dire que je pensais qu'on s'était débarrassé de toi. » La réalité te fait mal et les paroles de Marcovic te laissent l’amère impression d’un coup de couteau dans la poitrine. Fébrile, tu tends pourtant ton bras vers son visage, pointant ta baguette sur son front. « C'est même pas la peine d'essayer quoi que ce soit. C'est trop tard. » Comme si elle avait deviné tes intensions, pénétré tes pensées enfouîtes. Le tremblement des pas se rapprochant te gonflent pourtant d’espoir – les Traqueurs, et sans doute tes frères arrivent-ils en aide. Les paroles désespérées d’Arya parviennent à tes oreilles, faisant gonfler une rage incommensurable en toi – le sang bat contre tes tempes, assourdissant, et le brouhaha qui s’est emparé des lieux semble s’atténuer cependant que ton cœur s’affole. Tu n’agis plus pour ton père tu en es certain – tu es là pour sauver Arya, la femme dont tu es épris depuis ce qui te parait être l’éternité, la femme que tu connais, au fil des années à l’avoir observée, par cœur. Sans doute tes motivations sont-elle devenues égoïstes, mais tu n’écoutes plus que ton instinct. « Je prends le risque d’essayer. » Tes paroles ne sont que souffle dans l’explosion de sortilèges qui commencent à fuser et malgré la peur qui te noue le ventre, tu lances un Expelliarmus imprononcé. Le but premier n’étant pas de désarmer ton adversaire mais de faire diversion, tu profites de cette seconde de surprise pour t’élancer à la poursuite de Lockhart qui a repris sa jeunesse d’antan et qui traîne Arya par le cou. Au passage, par-dessus ton épaule, tu balances un Incarcerem, de nouveau pour ralentir la russe. Aveuglé par ton unique objectif, tu ne fais guère attention aux sorciers qui débarquent – tu cours, bloquant tes pensées pour ne plus agir que par impulsion. Une dernière fois tu tends ta baguette, vers la blonde cette fois, murmurant un sortilège du croche-pied du bout des lèvres, espérant sans doute vainement pouvoir rattraper l’avance qu’elle avait pris sur toi. Tu n’avais plus peur désormais – seule la rage t’animait. Et s’il fallait faire un sacrifice ce soir, tu étais prêt à l’exécuter, qu’il en coûte de ta propre vie ou de celle d’un autre. Seule l’existence des sœurs maudites comptait cette nuit.
January D. Lockhart
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Posté Jeu 22 Aoû - 10:14.
∞ until you travel to that place you can't come back
where the last pain is gone and all that's left is black
Peut-être que nous n'étions que des pions dans un jeu qui nous dépassait. Peut-être que nous étions les élus maudits d'une prophétie insensée. Peut-être que l'échiquier était trop grand pour qu'on se rende compte qu'on avait déjà perdu. Mais dès le début, l'enjeu nous avait surpassé. Dès le début, nous nous battions contre des forces invincibles, des forces que personne ne pouvait contrôler. La magie se rebellait, et nous tentions de remettre l'ordre dans le chaos. Sauf qu'il n'y a pas de règle dans le chaos. Il n'y a que la destruction massive d'un monde en perdition. Il n'y a que des guerres de pouvoirs, des diversions futiles pour nous éloigner du véritable but. On ne peut combattre le chaos que par le chaos. Les ténèbres par les ténèbres. Le feu par le feu. Est-ce que c'était ce qu'on était en train de faire ? Est-ce qu'il y avait un moyen de le savoir ? La confrérie nous avait transmis son savoir mais il y avait trop de zones d'ombre. Trop de peut-être pour un résultat si mince. Fermer la boîte de Pandore était une belle idée. Mais Pandore avait quelque chose que je ne possédais plus. Elle avait l'espoir. « Que voulez-vous obtenir de moi ? » Nous avançions, péniblement, mais nous avançions. J'essayais de me rappeler du chemin, et, bizarrement, c'était comme s'il était gravé dans mon esprit. Comme si la nuit que j'avais passée à pourchasser X dans les souterrains de Big Ben avait été imprégnée dans mon organisme. Les souvenirs se mêlaient au présent dans un tourbillon étouffant. Et plus j'essayais de me concentrer, plus la peur s'emparait de moi. J'essayais de déceler les cris des bruits de pas. J'essayais d'analyser les distances. J'espérais que les autres sœurs étaient derrière moi. Mais j'osais pas me retourner. Après tout, Orphée avait retenu la leçon. « Libérez-moi et je vous jure de vous laissez partir, je retiendrai mes hommes le temps que vous vous sauviez. Nous pouvons sembler ennemie mais, sincèrement, je vous comprend, nous, sorciers comme moldus, ne résistons jamais à l'idée de nous battre, de nous sacrifier pour une idée qui nous semble juste ... » L'air était suffoquant, ici-bas. Comme si tout avait moisi depuis notre passage. J'avais du mal à respirer, mais j'ai réussi à pousser un soupir agacé. Si elle croyait m'avoir par les sentiments, c'était raté. De toute façon, je savais que je n'en sortirai pas vivante, de ce mausolée, alors ses promesses m'étaient plus qu'indifférentes. Elles étaient ridicules. «Vous êtes la chef des traqueurs, vous pensez sincèrement que je vais vous croire ? Je sais qu'il n'y a aucun échappatoire, je sais que ça se terminera ici, mais il faut qu'on aille au bout... » Et puis je me suis rendue compte de l'injustice. Je me suis rendue compte qu'on la privait de son destin. Je me suis rendue compte qu'on ne valait pas mieux que Pritchard, on jouait avec la vie des autres. Tout en marchant, j'ai repris, avec une voix plus basse. Comme si c'était un secret qu'on ne devait jamais prononcer. «Ca n'a rien à voir avec ça. C'est beaucoup plus important que ça. Il ne vous a rien dit, n'est-ce pas, Pritchard ? » La prophétie, les quatre sœurs, la boîte de Pandore, tout était si compliqué et si simple à la fois : marche ou crève. C'était la seule solution, ou la seule qu'on voyait du moins. En fermant la boîte de Pandore, on restaurait la magie. En fermant la boîte de Pandore, on enlevait tous ses pouvoirs à Pritchard. Fini les compte à rebours, finies les guerres, finies les discriminations et les injustices. C'était pour ça qu'on était tous là. Pour cette idée si grande et si abjecte qu'était la justice. On n'avait jamais compris qu'elle n'existait que dans les livres. «Vous êtes beaucoup plus importante que vous le pensez. Il y a une prophétie qui parle de quatre sœurs et... » C'est là que j'ai trébuché. Dans ma chute, j'ai lâché Arya. Je me suis retrouvée face contre terre, dans un tunnel trop obscur pour que je puisse déceler quoi que ce soit. Mais lorsque je me suis retournée, j'ai vu sa silhouette. Hemingway. Il n'abandonnerait pas. Il la défendrait avec sa vie. Mais ce qu'il ne comprenait pas, c'était que je ferai exactement la même chose. Alors je me suis relevée, j'ai lancé deux bombarda dans la direction d'Hemingway en espérant toucher quelque chose et je me suis mise à courir après Arya. Il ne fallait pas qu'elle nous échappe.
B. Solomonia Marcovic
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Posté Jeu 22 Aoû - 14:22.
« Without fear, there cannot be courage. »
Parfois, on doit se battre pour réussir. On doit se retrouver dans cette situation où la seule et unique chose qui compte est de gagner. La seule chose qui possède encore une valeur dans un monde où la cruauté est devenue banale. J'entendais chaque mot comme s'il existait depuis des années. Je savais que je n'avais pas le choix. Je devais me battre parce que c'était la seule chose qui me restait. Parce que j'étais en colère, et parce que tout ce que je pouvais faire, c'était continuer jusqu'à ce que je réussisse à sauver ce qui restait de la mission. Jusqu'à ce que tout s'arrange. Que la vie reprenne et que tout ce qu'on avait réussi à contrôler devienne de plus en plus important. Je n'avais plus le choix. Je devais me battre pour ce qui comptait. Pour ce qui avait encore une valeur. Ma baguette m'a échappé. Je l'ai récupérée rapidement pour me lancer à la poursuite de Hemingway. Je savais que je n'avais pas assez de temps. Il a lancé un sortilège par dessus son épaule, et je me suis retrouvée ligotée par des cordes qui m'empêchait d'avancer. Je suis tombée sur le sol, et j'ai rapidement utilisé un Finite Incantatem, pour me lancer à nouveau à sa poursuite.
C'était trop dur d'imaginer qu'on pouvait tout rater. Qu'on pouvait se retrouver sur le banc de touche. Que chaque chose que l'on aurait aimé sauver pouvait disparaître du jour au lendemain. J'ai couru plus vite, jusqu'à ce qu'il soit ralenti grâce à January. Je suis arrivée derrière, tout en plaçant mon bras droit autour de son cou, pour l'empêcher de bouger, et ma main gauche tenait ma propre baguette contre son crâne. « Tu sais, c'est pas contre toi personnellement. » J'ai lancé un Petrificus Totalus, et j'ai tiré son corps sur le côté, en espérant être quelques peu cachée par l'obscurité. J'ai gardé ma baguette pointée sur lui, parce que je savais que le sortilège pouvait disparaître d'un moment à l'autre. Mon seul espoir, c'était que January réussisse à réunir Arya avec ses sœurs au moment opportun.
t dire que j’avais juste eu l’intention de m’allonger dans l’herbe, juste au niveau du ruisseau, seulement dans l’idée de recharger mes batteries, d’être au calme et de m’accorder quelques minutes avec moi-même. Et dire que j’avais choisi ce moment pour sortir du château, alors que si j’y avais été… Si j’y avais été, peut-être que rien de tout cela ne serait arrivé. Si j’y avais été plus tôt, ou plus tard. Plus au nord, ou plus au sud. J’ignorai ce que je faisais là. Et j’ignorai pourquoi ces trois personnes que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam, m’avaient attaqué en premier lieu. Un trou noir. Plus rien. Le néant. Le vide.
Et soudain, le sol. Qui se rapprochait. Dangereusement. Et une douleur violente, me parcourant le corps comme l’électricité se balade dans un câble. J’étais sonnée, mais je repris mes esprits assez rapidement. Si rapidement que je me relevai pour m’échapper en courant. Un homme brandit sa baguette sous mon nez. Je n’avais rien. La mienne m’avait été enlevée grâce à un sort à Beauxbâtons. J’avais été attaquée, sans même savoir pourquoi, ni par qui. Les deux filles m’agrippèrent fortement le bras aux ordres du seul homme. Au loin, un fille courait. Je n’y comprenais rien. Peut-être pouvait-elle m’aider ? Quelqu’un d’autre ? Je criai : « A L’AIIIDE ! » Des bruits de pas, pressés, d’autres pas. Des voix. Nous n’étions pas seul, c’était évident, mais qui d’autre pouvait bien se trouver par ici ? Qui ? Je tentais de tirer, de pousser, de donner des coups de coudes, mais ces filles avaient visiblement plus de force que moi. « A L’AIDE ! QUELQU’UN M’ENTEND ? A L'AIDE ! » Je criai pour qu’on vienne me chercher. Je criai pour qu’on m’entende. Je criai pour qu’on m’écoute.
Des gouttes de sueur perlaient sur mon visage. Puis elles roulaient, et roulaient vers le bas, avant de tomber et de s'écraser au sol. Mes longs cheveux étaient collés à mes joues, trempés. Mes vêtements étaient sales de mon atterrissage au sol. Avions-nous transplané ? Non, c'était impossible ! Je n'avais pas encore appris à faire ça ! J'étais trop jeune, et personne ne m'avait touché. Il me sembla alors immédiatement que cette histoire prenait une toute autre dimension. C'était impossible, à ce que je sache, de disparaître d'un endroit et de réapparaître dans un autre, sans avoir transplané. Je ne connaissais pas tout, mais j'en étais quasiment sûre. Pourquoi ces gens-là me poursuivaient-ils ? Avais-je fait quelque chose mal ? L'homme avait clamé qu'il ne me voulait aucun mal. Mais j'avais l'intime conviction que c'était faux. Complètement faux. Je m'adressai alors aux deux filles qui me tenaient fermement, trop fermement, le bras : « Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous me voulez, à la fin ? J'ai rien fait de mal ! Lâchez-moi, par Merlin ! » Je tentai de me libérer de leur emprise à nouveau, mais ce fut, encore une fois, en vain. Elles étaient trop fortes pour moi.
Rosaleen G. McCardle
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Posté Lun 26 Aoû - 12:16.
Le douleur fut fulgurante lorsque nos corps heurtèrent le sol dans le souterrain. L'air était rance, les murs suintaient l'humidité, il faisait sombre. Je me relevais pourtant rapidement, de peur de voir surgir quelque chose de pire que l'odeur qui stagnait. Je vis Violet, Sergeï et la tache rouge qui imbibait ses vêtements à la hauteur de sa cuisse. Nous n'avions pas le temps de nous occuper de cela pour l'instant, même si malgré mes réticences à son égard j'avais envie de lui venir en aide. Nous étions sûrement à Londres, car notre mission était réussie : non loin de moi se relevait péniblement Marie Gaumont. L'espace d'un instant, nou nous regardâmes tous les quatre avant que Sergeï ne nous lance l'ordre de nous emparer d'elle. Ma tête me faisait mal mais j'obéis, sachant que c'était ce qui nous restait de mieux à faire. Je serais son bras droit tandis que Violet s'emparait du gauche et nous la plaquâmes sans ménagement contre le mur. Notre seul ordre était de la garder vivante.
Elle ne comprenait pas, bien sûr. Son Protecteur ne nous avait pas suivis, et elle était seule à notre merci. Nous ne répondîmes pas à ses interrogations. Il était trop dangereux qu'elle sache trop. Je me contentais de lui offrir le sourire le plus rassurant que j'avais à disposition, mais cela ne la rassura pas, au contraire. Je vis alors January courir. Devions nous nous élancer à sa suite ? Je vis des lumières au bout du couloir. Que devions-nous faire à présent ?
Devant vous. La Crypte. Après vous être enfoncés de plusieurs kilomètres sous terre au cours d'une course effrénée, vous y êtes enfin arrivés. Derrière les portes qu'il vous suffit de pousser se trouve la Boite de Pandore. La victoire. La fin.
Vous y êtes presque, mais il vous faut désormais réunir les quatre sœurs. Elles seules doivent entrer dans la salle. De gré ou de force, elles devront y pénétrer pour espérer fermer la Boite de Pandore. Malheureusement, plusieurs obstacles viennent retarder votre victoire. John revient à lui et se libère de l'étreinte de Solomonia qui vient de se faire toucher par l'expelliarmus d'un traqueur. Les deux bombarda lancés par January touchent quant à eux Sergeï par inadvertance mais Rosaleen est là pour intercepter Marie. Arya, quant à elle, arrivée aux portes de la Crypte, n'a plus le choix : soit elle entre dans la salle, soit elle se retrouve prisonnière de January qui lui bloque le passage.
L'important, désormais, est de faire entrer les sœurs.
HRP : L'événement a lieu pendant la trêve de la bataille de Durmstrang, et au début de l'événement international de Londres. Ainsi vous pourrez participer à ces événements, mais vos interventions auront lieu après cet événement pour respecter la cohérence temporelle. Si vous voulez gagner la guerre, enfermez les sœurs dans la Crypte. Mais attention à ce que des aurors n'arrivent pas en renfort...
Bon jeu à tous !
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Posté Mer 28 Aoû - 15:41.
Final event Հ The light in the tunnel
J’étais pétrifiée. Mais je ne pouvais pas le montrer. Je ne devais montrer aucune marque de faiblesse. Ce soir, tout se jouait. En quelques secondes. Le monde magique allait basculer. Nous devions absolument réussir à conduire les sœurs au point de rendez-vous. La tâche ne serait pas facile. Les premiers échos de nos poursuivants se faisaient entendre derrière nous. Il fallait continuer à avancer, à espérer. Dans cette allée, nous l’avions attendue patiemment. A son arrivée, nous avions été plus précautionneuses que jamais. Elle ne devait pas avoir peur. Elle devait être en confiance. Le temps pressait et lorsque l’opportunité s’était présentée, nous avions attrapé son bras et nous avions filé. Après une nuit au QG de la Résistance, nous avions profité de la trêve pour amener Earth. Tout s’enchainait à une vitesse halucinante. Hayleen était encore secouée par le sort qui l’avait touché. A peine soignée, nous nous étions dépêchées de récupéré la quatrième sœur, direction Londres. Nous étions arrivées en transplanant Hayleen et moi, tenant Earth par les bras. Encore chancelante, je resserrais ma prise sur son bras. L’ancienne serpentarde s’était relativement laissé faire. Surement perdue face à notre discours, à nos actions. Ça tombait bien. Je ne lui voulais aucun mal, même si nos rapports n’étaient pas des plus cordiaux. Trop d’innocents avaient perdu la vie. Je ne voulais pas voir le sang couler une fois de plus, tâcher mes mains. De toute manière, elle devait arriver vivante.Les sous-sols s’ouvraient devant nous, je ne connaissais pas les lieux. Je devais juste avancer, continuer. L’atmosphère était lourde, prenante. L’air était saturé d’un je ne sais quoi d’obscure. Quelque chose allait se passer. Je ne cessais de jeter des regards à Leen et Earth. La situation que l’on vivait était irréelle. Jamais je n’aurais cru m’engager dans un tel combat, retenir une ancienne camarade captive pour la mener je ne sais où, peut-être à la mort. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine. Je tenais ma baguette devant moi, prête à faire face à l’inconnu. La baguette d’Earth était à ma ceinture. Nous étions prudentes. Je ne voulais pas la blesser, mais je ne voulais pas qu’elle nous inflige quoique ce soit. Des voix s’élevèrent. Des cris même. Les autres sœurs devaient surement être là, avec les résistants qui leurs étaient assignés. J’espérais que tout se passe bien, qu’aucune perte ne soit à déclarer. Mais c’était croire en l’inimaginable. Le ministère et ses traqueurs étaient à nos trousses. Les protecteurs des sœurs aussi. Gabriel. Mon cœur se serra à l’idée qu’il puisse se mettre en travers de mon chemin. Je ne voulais pas avoir à le combattre. « On ne doit plus être très loin. » J’avais presque soufflé ces mots. Le silence qui nous entourait était dès plus angoissant. Une faible lumière commençait à apparaître devant nous. Est-ce que c’était là où nous devions aller ? J’étais perdue. J’étais une petite fille engagé dans un combat d’adulte. ___
Nous n’étions plus seules. La mission semblait se poursuivre comme prévue. Tout allait bientôt se terminer. Les autres sœurs se trouvaient devant nous, accompagnés de leurs résistants. January au prise avec Arya, Rosaleen avec Marie. Solomonia semblait s’être fait toucher par un sort, tout comme Sergei. Je reconnu également John, le frère de Gabriel. J’avais envie d’aider mes camarades. Mais Earth reste la priorité. Les sœurs doivent pousser ses portes. Elles doivent le faire seules. Je me tournais vers Earth, dont le regard semblait se poser partout. Ma main toujours autour de son bras. « Il faut que tu entres dans cette pièce. C’est nécessaire. » Derrière nous des éclats de voix se firent entendre. John allait être rejoint par d’autres pour nous empêcher de réussir. Après la bataille de la plaine, une autre allait se jouer, ici et maintenant.
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Pour comprendre pourquoi je dis qu'Earth a passé la nuit au camp (pour plus de cohérences pour les posts d'Hayleen et moi ) ici
A peine m'étais-je remise de ma blessure sur le champ de bataille à Durmstrang, que Louve et moi avions filé récupérer Earth au QG pour transplaner jusqu'à Londres et la conduire enfin à sa destinée. Nous nous trouvions actuellement dans les sous-sols de la ville, exactement sous Big Ben. Pourquoi ici? Tout ce que je savais c'est que nous devions emmener les sœurs à cet endroit. Il était primordial de les amener vivante dans la crypte renfermant la boite de Pandore. Même si nous devions y laisser notre vie. Bien que si je pouvais l'éviter, je le ferais volontiers! Nous marchions d'un pas pressé jusqu'au bout du tunnel, Louve devant, Earth au milieu et moi fermant la marche. Heureusement, Earth avait été assez coopérative. Pas qu'elle était absolument d'accord pour nous suivre dans l'inconnue, mais elle était bien moins réticente que les deux autres sœurs à nous suivre. Pour autant, nous lui avions tout de même retirer sa baguette. Nous n'avions pas envie qu'elle la retourne contre nous. La baguette pointée vers elle, je lui demandai d'avancer un peu plus. J'entendais les bruits de nos poursuivants au loin et je n'avais pas envie qu'il nous rattrape avant d'avoir pu amener Earth dans la crypte. Et enfin nous avons rejoins les autres ; les soeurs : Marie et Arya, January et Rosaleen s'occupant chacune d'elles et enfin Solomonia et un résistant que je ne connaissais pas qui avaient l'air d'avoir reçu un sortilège. Il y avait également un autre homme avec eux et un Traqueur. Les auteurs du sortilège? Je n'avais pas le temps d'y prêter attention, ni le temps d'aider mes camarades. Louve avait pensé la même chose, car elle se tourna aussitôt vers Earth.
« Il faut que tu entres dans cette pièce. C’est nécessaire. - Je sais que ça fait grave flipper, ma... Je tournai la tête vers le reste du tunnel, des voix venaient de rugir au loin. mais il faut vraiment que tu rentres là dedans avec elles »
Je pointais du doigt les autres sœurs. J'imaginai que Serafima devait déjà être à l'intérieur. Elle était la seule des sœurs qui n'avait réellement posé aucun problème puisque très vite elle avait rejoint la résistance. Il n'en manquait donc que trois... Et elles avaient intérêt à rentrer très vite là-dedans, avant que le reste de la troupe d'Aurors ne rappliquent...
♦ Nota Bene : recherches de liens en tout genre. : vos relations principales ici : bon pour une nouvelle baguette
Posté Dim 1 Sep - 16:31.
Je ne m'attendais pas tellement à ce que Lockhart me réponde, j’espérais surtout gagner du temps, parce que le temps, quoi qu'on fasse, semble toujours nous glisser entre les doigts tel des grains de sable. «Vous êtes la chef des traqueurs, vous pensez sincèrement que je vais vous croire ? Je sais qu'il n'y a aucun échappatoire, je sais que ça se terminera ici, mais il faut qu'on aille au bout...» Comment avais-je pu espérer une réponse autre que celle-ci. Après tout les débordements, tout les crimes qu'on lui avaient imputés ... January Lockhart sans doute plus que tout autre résistant avait trop souffert pour en rester là, trop souffert pour s'enfuir encore une fois passant ainsi pour la coupable. « Ca n'a rien à voir avec ça. C'est beaucoup plus important que ça. Il ne vous a rien dit, n'est-ce pas, Pritchard ? Vous êtes beaucoup plus importante que vous le pensez. Il y a une prophétie qui parle de quatre sœurs et... » Si elle ne me forçait pas à avancer en cet instant, je me serai arrêtée quasi-instantanément. La prophétie des quatre soeurs, combien de fois avait-elle résonné dans ma tête ? Combien de temps ces mots m'avaient-ils obsédés avant de sombrer dans l'oubli ? Ainsi je semblais détenir la clé de problème depuis des mois déjà ... J'aurais voulu en savoir plus, j'aurais voulu que January continue sa phrase mais elle est tombée. Sitôt libérée, mes jambes n'ont pas attendues l'accord de me tête et j'ai couru jusqu'à arriver devant des portes. Je me retournai, indécise quant au choix à faire, déjà Lockhart se relevait et s'approchait. Nous étions plus nombreux que je ne l'aurais cru, des résistants, des traqueurs, des aurors les souterrains avaient des allures de station de métro. Je cherchais John, il avait toujours été étrangement présent dans mes moments difficiles, j'avais beau l'ignorer depuis des mois, j'avais besoin de lui « JOHN ! », je ne reçu aucune réponse, ou n'en entendis-je aucune ? Il était trop tard de toute manière, soit je passais ces satanées portes, soit je me retrouvais à nouveau prisonnière de January. Perdant mon sang-froid, je poussai les portes avec empressement, sans même me rendre compte que je fonçais droit dans la gueule du loup, sans me rendre compte que c'était de derrière ces portes que provenait l'atmosphère lourde qui se répandait dans les souterrains. J'entrai dans la pièce, bousculant trois personnes au passage, ce ne fut qu'une fois à l'intérieur que je me rendit compte que le visage de l'une d'entre elle m'étais familier, si je l'avais vue plus tôt, sans aucun doute me serais-je abstenue d'entrer mais il était de toute façon trop tard pour faire demi-tour.
Gabriel J. Hemingway
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Posté Dim 1 Sep - 18:02.
Ses pas résonnaient dans le souterrain. Il courrait. Sans s'arrêter. Il les avait suivit. Il les avait vu, l'enlever. Elle. Earth. Il ne pouvait pas la laisser. Il ne pouvait pas l'abandonner. Elle était toute sa vie. Des cris lui firent remonter le menton. Il ne savait pas ce qu'il se passait quelque mètre devant lui. Il ne savait pas que son frère était allongé sur le sol, à moitié inconscient. Il ne savait pas que les résistants menaient la danse. Il ne savait pas que l'une de ses meilleures amies se tenait devant lui. Non, il ne pensait qu'à elle. Sa sécurité. Il repartit de plus belle, enchaînant les virages. Puis il s'arrêta net. Il pouvait voir le champ de bataille s'étendre sous ses yeux. Il pouvait voir John revenir peu à peu à ses esprits. Il pouvait voir Arya pousser les grandes portes. Et il pouvait la voir. Earth. « EARTH ! » Il courut, s'agrippa à sa baguette comme si sa vie en dépendait. Il n'avait jamais été doué pour lancer des sorts, peut-être que l'adrénaline allait faire son effet. Peut-être allait-il pouvoir lui venir en aide. Lui, le fils inutile. Le vilain petit canard de la famille Hemingway. Il devait la protéger. Il ne pouvait pas échouer à cette seule mission. Non pas pour plaire à Tobias ou John, mais bien pour lui. Pour elle. Il se trouvait à quelque mètre lorsqu'il reconnut Louve.
Que faisait-elle ici ? Il ne savait pas qu'elle faisait parti de la résistance. Il se stoppa. Les sorts fusaient autours de lui. Traqueur, résistants, tous se faisaient la guerre. « Que... Louve... Qu'est ce que tu fais ici ? » Il ne voulait pas admettre la vérité. Il ne voulait pas voir qu'elle était à l'origine de l’enlèvement d'Earth. Il ne voulait pas le croire. Il resserra son poing autour de sa baguette. Elle ne pouvait pas entrer dans cette pièce. Elle n'était pas un pantin, jouant à l'avantage d'un des deux camps. Un simple pion. Elle était bien réelle. Une personne. Avec des sentiments. Il s'avança, se positionna entre la jeune fille et les grandes portes en bois. « Tu ne peux pas entrer Earth. » Il tourna la tête vers Louve. « Elle est pas une putain de marionnette, merde ! » Il n'en pouvait plus. Tous les mensonges, toutes les manigances. Les mêmes personnes payaient toujours les pots cassés. Une arme coula le long de sa joue. Il se préparait au pire. Il se préparait à mourir, pour elle. Rien que pour elle.
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Posté Lun 2 Sep - 16:50.
Final event Հ The light in the tunnel
« je sais que ça fait grave flipper ma » « EARTH ! » « mais il faut vraiment que tu rentres là dedans avec elles . » Cette voix. Ce prénom qui résonnait, et qui trahissait ma plus grande peur. Il était là. Bien sûr qu’il était là. J’aurais tout donné pour que ce soit le contraire, qu’il soit loin d’ici. Je déglutissais, mon cœur accélérant. Cette mission montait d’un cran en difficulté. Des pas résonnèrent derrière nous. Encore quelques minutes et il serait là lui aussi. Les autres s’afféraient à faire eux-aussi entrer les sœurs. On était tout proches de la délivrance. « Que... Louve... Qu'est ce que tu fais ici ? » Je me retournais, comme au ralentis, le cœur battant. Je ne voulais pas l’affronter. Une des sœurs entra dans la pièce, savait-elle où elle allait ? Toute cette agitation autour de nous. « Tu ne peux pas entrer Earth. » Gabriel me regardait maintenant. Je pouvais sentir le dégout que je lui inspirais. Perdre la personne la plus importante de sa vie par la faute d’une amie proche. Je le trahissais. Mais c’était…nécessaire. « Elle est pas une putain de marionnette, merde ! » Je me doutais qu’après cela, nous ne pourrions plus être amis. . « Gabriel... » Ma voix était loin d’être assurée. « Reste en dehors de ça s’il-te-plait. » soufflais-je, ma baguette toujours dans ma main, en me plaçant entre elle et lui. Une barrière inutile. « Elle doit rentrer, c’est écrit. Elle nous sauvera tous, comme ses sœurs. Ne t’interpose pas sinon tu… » Les mots ne voulaient pas sortir. Je ne voulais pas qu’il soit blessé, surtout pas lui, mais je devrais forcément me défendre si jamais il attaquait. Je reculais, forçant Earth à bouger elle aussi. Alors, c’était maintenant. Le moment où tout se jouait, où tout risquait de basculer. Je fixais mon ami dans les yeux, lui criant mentalement de s’enfuir, de ne pas combattre, que j’étais désolée de tout ce que j’avais fait et que j’aurais à faire. « Leen, fait-la rentrer. » J’aurais voulu qu’Earth n’y soit pas contrainte, qu’elle comprenne notre cause. Mais la présence de Gabriel, de son frère, m’indiquait que tout ne se passerait pas facilement.
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se passait tellement de choses. Tellement de choses, en si peu de temps. Et on m'amenait maintenant ailleurs, on me tirait le bras. C'est lorsque je vis Earth, présente elle aussi, que je paniquais. Quelque chose était en train de se passer, mais je n'avais absolument aucune idée de ce dont il s'agissait... « EARTH ! » Avec la force que j'avais obtenu de ce cri, je parvins à me défaire de l'étreinte de mes kidnappeurs. J'attrapai le bras de la seule personne que je pensais connaître par ici, et je m'y accrochai. Ils parlaient de Crypte, de soeurs. Earth avait des soeurs? Je ne comprenais vraiment rien à rien. Cette atmosphère était tendue. Mais rapidement, je compris que si je voulais vraiment partir d'ici, je devais absolument entrer dans cet endroit où ils voulaient que j'aille. Je levai les yeux vers la brunette que je n'avais pas lâché, avant de la tirer doucement avec moi. Nous avancions de quelques pas, avant de nous retrouver à l'entrée d'une autre salle.
« Si on veut en finir avec tout ça, toute cette histoire tirée par les cheveux, il faut qu'on fasse ce qu'ils disent. Viens. Viens, on y va, on suit leurs ordres. », lui murmurai-je. Je la sentais en plein doute, mais qui ne l'était pas, à cet exact moment? Je la tirai à nouveau doucement, et nous entrions dans cette espèce de crypte. Une autre fille était là. Ses longs cheveux noir comme l'ébène tombaient dans le creux de son dos. Je me tournai alors à nouveau vers nos assaillants. J'étais en train de faire exactement ce qu'ils voulaient, mais j'avais besoin de réponse. Nous avions toutes besoin de réponse, j'en étais persuadée. Je ne pouvais pas être la seule à me poser toutes ces questions par dizaines, non, c'était impossible. « Voilà. On y est. Est-ce qu'on peut savoir le fin mot de cette histoire? Obtenir des explications? Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de soeurs. Je n'ai pas de soeur. » Et ce fut là que je compris. Mes yeux s'écarquillèrent au fur et à mesure que j'assemblais les pièces du puzzle. Earth et moi étions toutes deux adoptées. Et si nous étions en fait de la même famille biologiquement parlant? Non. Non. C'était impossible. Les chances pour que cela arrive étaient vraiment minuscules. Je fis demi-tour pour jeter un coup d'oeil à l'autre fille. Mais quelles étaient les chances pour que trois soeurs soient rassemblées dans un même endroit alors qu'elles ne connaissent pas les existences des unes et des autres? Encore plus minuscules. Et je fis à nouveau volte-face. Une autre fille semblait prisonnière de ces gens-là, elle aussi. Une quatrième? Non. Les possibilités étaient plus que minuscules. Elles étaient infimes. Voire impossibles.
Je paniquai. Mon coeur battait à cent à l'heure. Ma respiration s'accélérait à la seconde. Et je commençais vraiment à me sentir dépassée. Vraiment. Dépassée.
Rosaleen G. McCardle
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Posté Mer 11 Sep - 16:32.
Marie m'échappa des mains. Terrifiée qu'elle devait être, elle alla se réfugier dans les bras de celle qui semblait être Earth, puisqu'elle venait de crier son nom dans un hurlement de désespoir. Je haussais les sourcils. Marie ne semblait pas faire de la résistance, aussi je me contentais de la suivre de près, ma baguette prête à l'immobiliser si elle tentait de s'échapper. Mais elle paraissait comprendre que si elle voulait que nous la laissions tranquille et que nous ne lui fassions pas de mal, elle devait suivre nos ordre et entrer dans la crypte. Là, elle comprendrait sans doute le fin mot de l'histoire, sans que l'on ait besoin de répondre à ses questions. Enfin, j'imagine que January devrait expliquer. Expliquer ce qu'elles devraient faire en tout cas, à défaut d'expliquer qui elles étaient, et de quel personnage elles descendaient. Elles n'étaient pas prêtes à entendre cela... « Voilà. On y est. Est-ce qu'on peut savoir le fin mot de cette histoire? Obtenir des explications? Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de soeurs. Je n'ai pas de soeur. » Je ne savais pas quoi faire. Mais avant que j'aie pu décider, je vis un éclair de compréhension dans ses yeux, et je me tus. Certes les chances étaient infimes pour que quatre soeurs ne se connaissant pas soient ainsi réunies, mais nous avions fait en sorte qu'elles le soient, aussi nous avions réussi. Il ne manquait plus que les ordres de January, maintenant que toutes les soeurs étaient entrées dans la Crypte.
Earth. Marie. Arya. Serafima. Elles étaient toutes dans la Crypte. Elles étaient liées. Enfin.
Devant elles, la Boite de Pandore, ouverte. Il leur suffisait désormais de la toucher toutes ensembles, et de la refermer. Il leur suffisait d’effleurer cette fichue boite pour que le cauchemar soit terminé. Pour que les artefacts s'éteignent. Pour que la magie reprenne le pas sur les sorciers, et pour que Pritchard s'effondre. Alors elles s'avancèrent. Elles obéirent à leur instinct. Il ne s'agissait plus d'une affaire d'opinions, et encore moins de convictions. Il s'agissait de sensations. De ressentiments. Il s'agissait de l'espoir. Et elles touchèrent la boite.
Mais l'espoir ne dure jamais. Un craquement. Arya, Marie, Earth et Serafima se retrouvent projetées contre le mur. Un bruit sourd se fait entendre...
Et puis, la pièce se met à trembler. Une lumière blanche s'échappe de la Boite de Pandore, s'étend, jusqu'à ce que tous les sorciers présents ne puissent plus rien voir. Une déflagration s'en suit alors, et c'est avec effroi que tout le monde comprend désormais : la Boite de Pandore a explosé.
Elle n'a pas été fermée. Elle a disparu dans le néant. Expelliarmus, s'exclame un auror en direction de January. Rien ne se passe. La Boite semble avoir emporté la magie avec elle. Mais elle n'a pas fait disparaitre les tremblements de la Crypte.
Les souterrains s'effondrent. Courrez !
Le staff de Vulnera Samento.
Rosaleen G. McCardle
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Posté Jeu 12 Sep - 18:28.
Final event to save the world magic never end
Les sœurs touchèrent la boîte, et tout se passa en une seconde, une terrible et fatale seconde. Sitôt que leurs mains ensemble se posèrent sur l'objet, elles furent toutes les quatre projetées dans les airs, allant brutalement heurter le mur de pierre derrière elles. Je vis l'air s'échapper de leurs poumons tandis que le choc les laissaient meurtries. Nous n'eûmes pas le loisir de les aider, car c'était nous maintenant qu'il fallait protéger. La boîte semblait irradier d'une lumière aveuglante, et plus le temps passait plus cette lumière devenait omniprésente. Bientôt, nous ne pûmes plus rien voir, et le spectacle nous obligea à fermer les yeux et à nous protéger le visage de nos mains. L'instant d'après, tout tremblait, du sol au plafond. Lorsque j'ouvris les yeux, il faisait de nouveau sombre dans la crypte. Mais où que je posais les yeux, il n'y avait plus trace de la Boîte de Pandore. Comment avait-elle bien pu disparaître ? Ca ne faisait pas du tout partie de nos projets, loin de là. Alors que nos intentions étaient de fermer cette fichue boîte, nous venions de la détruire. Quelle différence cela allait-il faire ? Est-ce que la magie allait partir pour de bon ?
Je n'avais nullement le temps de réfléchir à la question. Il nous fallait, avec Louve, rejoindre au plus vite le champ de bataille à Durmstrang, champ sur lequel j'avais abandonné Hamlet à son sort. Il était grand temps de refaire fonctionner correctement l'artéfact de magie noire, avant de découvrir les sombres conséquences de la destruction de la boîte. Il nous fallait laisser les autres se charger des soeurs...
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EVENEMENT FINAL RESISTANCE - let's fight until the world ends