| ANIMATION SPECIALE || flashback the hell ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together. |
| Dominus Tenebraethis is the wizzarding world of informations star : Moi-même
crédit : Domina.
lettres postées : 1252
date d'entrée : 28/03/2010
| Posté Ven 18 Mai - 17:36. | | |
| | | Invitéthis is the wizzarding world of
| Posté Ven 18 Mai - 21:31. | | Voilà mon récit (860 mots) Je me souviens exactement du jour où ma baguette m’a choisi. C’est comme si c’était hier. Un évènement pareil ça ne s’oubli pas. Chaque jeune sorcier attend ce jour avec impatience. Découvrir cette alliée, cette camarade, cette protection. Ce jour de Juillet 2050, j’étais avec mes parents pour faire mes courses scolaires. Chaque boutique était un émerveillement pour mes yeux mais la noble boutique d’Olivanders a laissé en moi un souvenir inoubliable. Mon père m’avait donné de l’argent et pousser à entrer seule dans la boutique, je serais plus à l’aise pour recevoir ma baguette. J’étais angoissée. Et si je ne trouvais pas de baguette ? Et si j’en trouvais une faible ? J’ouvrais doucement la porte, la coche tintant doucement et révélant ma présence. A peine m’étais-je avancée vers le comptoir qu’un vieil homme avait déboulé de l’arrière-boutique. Si j’avais été surprise au début, son sourire me rassurait. Il avait l’air inoffensif. « Je suppose que vous venez chercher votre baguette jeune demoiselle ? » J’hochais de la tête, muette de surprise. Le vieil homme s’en était allé dans les rayonnages de la boutique, revenant quelques minutes, les bras chargés de boîte. « J’ai ici quelques modèles, la vôtre devrait se trouver parmi elle. »
J’inspirais fortement et m’emparais de la première boîte. 33,25 centimètres, Ebène et Ventricule de cœur de dragon. Une baguette épaisse, sinueuse. Je posais les doigts sur le bois, en un geste lent. Et je la sentis vibrer sous ma paume. Je resserrais ma prise et un doux mouvement de mon poignet me fit exploser la lampe sur le comptoir. Rapidement je la posais devant moi. « Bien trop impulsive pour vous. Quelque chose de plus rusé, plus intelligent…» Je me saisis d’une deuxième baguette, un peu plus angoissée qu’avant. 31 centimètres, Poirrier et Crin de Licorne. Une baguette plus fine, aux reflets dorés. Elle se coula entre mes doigts comme si elle était mienne. Je pensais qu’elle me conviendrait mais non. En répétant le mouvement de main comme avec l’autre baguette, les parchemins du comptoir s’envolèrent en une mini tornade. Olivander sourit et récupéra sa baguette. « Pas assez de caractère pour celle-ci… » Il se gratta la tête un instant et son regard pétilla. « Je pense qu’il vous faudrait une baguette plus…originale. Quelque chose de différent. » Je ne m’y connaissais pas en baguette, je ne pouvais donc que me fier à son jugement. De nouveau j’hochais la tête. Il disparut et réapparut de nouveau, une boite entre les mains. Il l’ouvrit et me présenta une baguette. Magnifique. De taille moyenne, sombre, au manche sculpté. Je tendais la main et l’attrapais. « Je ne sais pas si elle vous conviendra, elle est originale mais spéciale. » C’était différent d’avec les autres baguettes. Je l’aimais bien celle-ci. Je la trouvais élégante. C’est avec confiance que j’amorçais un mouvement du poignet. Et la réaction fut incroyable. Une douce chaleur parcouru mon corps, de ma main à mon cœur. Je me sentais bien. Un léger halo de lumière naquit à la pointe de la baguette, d’une lumière argentée. Cela ne dura qu’une seconde mais je pouvais d’or et déjà dire qu’elle était mienne. Un rire franc résonna. Olivander riait, se tenant les mains. « Pourquoi riez-vous ? » « C’est une situation comique. Comme j’en vois peu. Vous semblez être une jeune fille pleine de vie et vous tenez une baguette de la mort. » Devant ma mine déconfite, il s’approcha de moi. « 29 centimètres, bois de sureau et crin de sombral. » Je comprenais sa réaction. Cet ingrédient, ce bois. Une sacré réputation les entouraient. Le crin de sombral provenant d’un animal représentant la mort, un animal craint par tous. Le sureau, bois très rare, souvent utilisé par les forces noires. Un proverbe célèbre dit « Baguette de sureau, toujours un fléau ». C’est avec du sureau qu’a été créé la baguette des reliques de la mort, et on voit comment cela s’est finit. J’étais surprise de ce choix. « Vous êtes surprise n’est-ce pas ? … Moi non. Beaucoup de gens pensent qu’une telle baguette est l’instrument du mal. Mais je ne suis pas de cet avis. »
J’écoutais ses paroles, je voulais comprendre ce choix. « Une baguette comme la vôtre ne choisit pas n’importe qui comme propriétaire. Elle décide d’avoir quelqu’un d’aussi exceptionnel qu’elle. Quelqu’un qui aura à combattre la mort. » Je déglutissais à l’entente du mot mort. Comment pouvait-il dire cela ? Comment pouvait-il le savoir ? « Vous en êtes sur ? » « Je ne me trompe rarement mademoiselle, et je sais que vous êtes une bonne sorcière. Vous ferez de nobles choses et elle vous y aidera. » J’étais sortie de la boutique, l’esprit embrouillée. Entre mes mains se tenait une baguette puissante, exceptionnelle. Elle m’avait choisi. Elle avait vu en moi une propriétaire digne d’elle. Et honnêtement j’en étais très fière. Elle ne m’a jamais trahie. Ni abandonnée. Ma baguette m’a aidé à combattre l’OS, à vaincre l’ennemie. Aujourd’hui elle me suit à Durmstrang, dans la destinée qui m’a été prédite. |
| | | Invitéthis is the wizzarding world of
| Posté Sam 19 Mai - 19:15. | | enora flore boatwright.animation spéciale. |
| | | Invitéthis is the wizzarding world of
| Posté Lun 21 Mai - 17:20. | | 1116 mots. ^^ Obtenir une baguette. Jonatan en rêvait, depuis bien des années. Bien avant ses 9 ans. Il avait de multiples fois tenté de dérober les baguettes de ses parents. Plusieurs fois avec succès. Ceux-ci s’étaient bien souvent exaspérés de ne pas retrouver leurs baguettes, au moment de transplaner, prendre un patronus, la poudre de cheminette, ou leur calèche, afin de se rendre chez des membres éminents de la noblesse. Leur fils les cachait bien souvent, quelques fois surement involontairement à l’aide de la magie, ce qui les énervait fortement. Il avait toujours souhaité, enfin, être l’égal de ses parents. Chose difficile, mais pas impossible. Il pourrait contrer leurs « Silencio » bien trop fréquents, lancés au petit garçon quand il était trop turbulent. Ainsi, peu avant d’entamer une scolarité sorcière, il avait enfin vu son rêve se réaliser. Il ne comprenait pas pourquoi ils n’avaient pas été voir un fabricant de baguettes français, cette année, mais il avait vite saisi que pour des parents qui ne souhaitaient que le meilleur pour leur fils, nulle autre solution qu’Ollivanders n’était envisageable. Il ne doutait pas du fait qu’il aurait une baguette digne des de Roblès, aussi n’était-il pas spécialement angoissé, uniquement surexcité. Bien qu’une petite voix trottait au fond de sa tête, répétant en boucle « et si tu n’étais qu’un Cracmol, que les petites manifestations de magie qui ont eu lieu ne venait pas de toi ? Quelle déception, si c’était le cas, n’est-ce pas ? ». Il ne s’en rendit compte que bien des jours après être entré dans la boutique… En effet, ce fut un jour mouvementé, chez Ollivanders… Les locaux et les objets présents n’en étaient pas restés indemnes tout du long. Jonatan ne se souvenait plus de la baguette qu’il avait eu entre ses mains en premier – l’effet qu’elle avait eu était bien plus marquant. En effet, il avait agité la baguette, et un jet de lumière bleue en était sorti, tout droit en direction d’une étagère, faisant tomber des dizaines de boites contenant des baguettes en sa direction. Un petit saut en arrière, qui avait failli lui valoir de tomber, lui permit d’éviter l’avalanche de boites. Discrètement, Ollivanders, qui s’occupait alors de lui et d’un autre garçon, les remit sur l’étagère à l’aide de sa propre baguette. La prochaine, en revanche, Jonatan s’en souvenait très bien. Elle était dans une boite à ses pieds, qui avait échappé au retour sur l’étagère de manière bien mystérieuse. Jonatan ouvrit donc la boite, se disant que si la baguette choisissait son sorcier, celle-ci l’avait peut-être choisi ? En ébène, contenant un crin de licorne. Il la dirigea vers une fenêtre – pas question de renverser de nouveau une étagère -, et l’agita. Il pensa qu’il aurait peut-être du se contenter d’une étagère, quand la fenêtre explosa, répondant des morceaux de verres partout. Là encore, la vivacité du vendeur ne fut pas à démontrer, celui-ci lançant un Protego, renvoyant les morceaux de verres à l’expéditeur, qui furent ressoudés grâce à un Reparo. Il avait été effrayé un bref instant, il ne pouvait le nier. Mais il n’eut pas l’occasion de s’appesantir sur cette peur, car il fut sorti de ses pensées. Un autre enfant, présent le même jour, venait de secouer une baguette et… de tremper Jonatan, des pieds à la tête. Ainsi que les autres personnes présentes, évidemment. Un Aguamenti très puissant était sorti de l’instrument que le jeune garçon tenait entre ses mains. La magie était une chose bien difficile à appréhender, et à comprendre. Comment se faisait-il que, plus on apprenait à la maîtriser, moins on avait de capacités ? Quelle tristesse, s’était alors dit l’adolescent de dix-sept ans en repassant devant la boutique et en se remémorant ça. Mais il plongea à nouveau dans ses souvenirs. Déjà sujet à des crises de colère, il s’était approché de l’autre futur sorcier, et avait pris la baguette dans ses mains avec force. Il l’avait secoué, et avait fait apparaître des oiseaux qui, en moins de temps qu’il n’en faut pour le raconter, avaient crotté le magasin. Une baguette en plus éliminée. Las, le vendeur prit une baguette rarement proposée, par sa composition spéciale. Du bois de poirier, assez commun, mais aussi un cœur de dragon. Beaucoup d’éléments du dragon entraient en compte dans la composition d’une baguette, mais rarement le cœur de celui-ci. Il conférait effectivement une très grande puissance, une force brute, aux baguettes, difficilement maniable. Et il était par conséquent peu utilisé, les sorciers craignant quelque peu l’usage qui pouvait être fait d’une telle baguette. Ollivanders l’amena à Jonatan, et lui dit qu’elle pourrait lui sembler rugueuse, et peu engageante. Dès que le petit garçon la vit, raffinée, brute mais douce, il sut. Il sut que cette beauté lui était dédiée. Qu’il accomplirait de grandes choses, avec elle. Qu’il serait un sorcier doué, talentueux, que beaucoup envieraient. Quand il la prit en main, un frisson le parcourut. Un frisson de bonheur, de félicité. Comme s’il était en osmose avec elle, qu’ils partageaient des choses. Souriant, il la secoua légèrement, tout de même anxieux des dégâts qu’elle pourrait causer, ou du fait qu’elle ne serait pas pour lui. Un sourire plus grand s’attacha aux lèvres de Jonatan, lorsqu’il vit le résultat de son mouvement. Les teintures et les étagères d’Ollivanders se teintèrent de bleu, de même que tout le magasin. Tout le désordre fut rangé, comme s’il n’avait jamais été là. Les oiseaux se transformèrent en bouquets de pensées, disposés sur les tables et bureaux présents dans le magasin. L’eau disposée par l’autre garçon voulant une baguette fut séchée et s’évapora. Les yeux émerveillés, Jonatan contemplait tout ce qui s’effectuait, se perdant dans le lien qui l’unissait à sa baguette. Enfin, il se sentait un vrai sorcier. Pas l’enfant des de Roblès. Pas l’enfant prodige. Pas le musicien, ni la personne bien élevée, que ses parents voulaient. Il était juste lui, avec Sa baguette. Et il ne doutait pas qu’il ferait de grandes choses, non parce qu’on l’attendait de lui, mais parce qu’il le souhaitait. Il était comblé, même si ce fut pour un court moment. • Jonatan était resté figé devant la boutique pour un long temps, se remémorant ce jour heureux. Probablement le meilleur de sa vie, avant qu’il n’aille à Beauxbâtons et n’apprenne à connaître Prudence. Surement son unique souvenir, non teinté de pensées négatives. Il se revoyait, petit garçon, insouciant, heureux de sa baguette. Un sentiment de bonheur l’envahit. Il ne durerait probablement pas longtemps, mais il était là, et Jonatan se sentait bien, pour la première fois depuis la Grande Bataille. Il s’attarda encore quelques minutes, nostalgique, désireux de retrouver l’état de béatitude qui l’avait consumé ce jour là. |
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