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CADEYRN&FLORENCE ● knocking on heaven's door [pm]
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Mar 1 Juil - 22:46.
knocking on heaven's door
asocial binomial

   

   
informations particulièrement pas importantes
ϟ dénomination courante des participants ▬ Florence Da Vinci et Cadeyrn Turner
   ϟ  étiologie du statut subjectif ▬  privé
   ϟ  datation approximative du moment exact ▬ 16 septembre 2057, date d'arrivée de Cadeyrn à Londres, quelques jours avant la cérémonie d'ouverture.
   ϟ  cadran lunaire appréciable ▬ aux alentours de 22h30
   ϟ  météorologie sorcièrement acceptable ▬  temps pluvieux
   ϟ  saison saisissante et palpitante ▬  saison 3
   ϟ  intrigue globalement intriguante ▬  chapitre 1
   ϟ chatiment divin exigible ▬  non merci
   
Cadeyrn S. Turner
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Message Posté Mar 1 Juil - 22:52.
CADEYRN&FLORENCE ● knocking on heaven's door [pm] E1e08CS
Il était en retard.

Comme à son habitude, Cadeyrn avait oublié. Il avait bel et bien répondu au carton d'invitation du Ministère. A la grande surprise de Pritchard, il avait répondu présent. Seulement, il avait oublié qu'il avait demandé un binôme. Et que quelqu'un l'attendait.

Vingt-deux heures. Après avoir passé la journée à arpenter la ville qu'il n'avait pas vue depuis des mois, il avait passé la majeure partie de la soirée en compagnie de January au Chaudron Baveur. Si les effets du Polynectar n'avaient pas commencé à se dissiper, il serait certainement resté avec elle. Ils avaient tant à faire, parler, préparer. Mais Cadeyrn avait dû la quitter en catastrophe : si on les avait aperçu tous les deux, la nouvelle aurait rapidement fait le tour de la capitale. Ce n'était qu'en rentrant dans sa chambre d'hôtel qu'il s'était rendu compte de sa bourde. Son binôme. Il avait trouvé le système intéressant, permettant aux sorciers de rester quelques jours sans payer de logement, avec un guide pour faire visiter la ville. Intéressant, oui. Sauf quand on l'oubliait. Et c'était exactement ce que venait de faire le professeur de potions. « Failamalle ! » lança-t-il alors que ses affaires, déjà éparpillées dans toute la chambre, étaient soigneusement rassemblées dans sa valise. Il sortit un morceau de papier sur lequel il avait griffonné l'adresse de son binôme, et relu les quelques éléments qu'il avait retenus à son propos. Il s'agissait d'une femme, la trentaine, qui travaillait à l'hôpital Ste-Mangouste. Il connaissait également son prénom : Florence. Personne ne lui avait fait connaître sa situation familiale, et il priait pour ne pas tomber sur la mère de famille et ses cinq enfants dont il faudrait faire la lecture avant d'aller au lit. Il dévala les escaliers, suivi de sa valise qui lévitait au-dessus des marches, et s'excusa platement auprès du gérant avant de sortir sous une pluie battante. Il avait vraisemblablement passé l'une des journées les plus pourries de ces derniers mois, et ce n'était pas terminé. L'adresse indiquait le Chemin de Traverse, qu'il connaissait, comme tous les sorciers, en long en large et en travers, mais aucun numéro ne permettait d'identifier la maison de son binôme, qu'il commençait à maudire. Il se mit ainsi à arpenter l'artère principale du quartier sorcier de Londres, guettant les lumières aux fenêtres. Par deux fois, il se fit remercier, lui indiquant que « Non, il n'y a pas de Florence par ici », si bien qu'il commença à perdre espoir. Après plusieurs minutes à attendre sous la pluie battante du mois de septembre il décida d'essayer une dernière porte avant d'abandonner.

Par chance, il distinguait de la lumière à l'intérieur de la maison qui n'avait pas l'air mal du tout. A l'aide de sa baguette magique, il sécha les gouttes d'eau qui l'assaillaient depuis une heure afin de paraître plus présentable et frappa à la porte trois coups secs. Il avait prévu tout un tas d'excuses, de prétextes, tous plus grotesques les uns que les autres, afin de justifier sa venue si tardive. Et il savait pertinemment qu'il ne serait pas capable d'en sortir une seule de présentable. Alors il attendit, sur le pas de la porte, une main sur sa valise, conscient qu'on ne viendrait vraisemblablement pas lui ouvrir. Jusqu'à ce qu'il sente le loquet se décrocher et la porte s'ouvrir. Il n'eut même pas le temps de voir le visage de son hôte qu'il ouvrait déjà la bouche, comme pour se débarrasser de son fardeau au plus vite, et rentrer dans son hôtel. « Bonsoir, excusez-moi de vous déranger aussi tard, mon nom est Cadeyrn Turner, je suis à la recherche de mon binôme pour la cérémonie d'ouverture, une dénommée Florence... » Puis il resta sans voix devant la beauté de la femme qui lui ouvrit, priant tout à coup pour qu'il s'agisse de la bonne personne et pour qu'il ne rentre pas dans son hôtel.
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Message Posté Mer 2 Juil - 14:44.
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    Chère Madame Da Vinci,
    Nous avons le plaisir de vous annoncez que vous allez recevoir chez vous, un binôme. Il s'agit d'un jeune homme, professeur de Potion à l'école Durmstrang. Il arrivera chez vous vers vingt heures. Veuillez s'il vous plait lui réserver un bon accueil. Veuillez accepter nos salutations distinguées.
    Le ministère de la magie.


Elle donna un biscuit au hibou qui lui avait apporté cette lettre et le regarda s'envola par la grande fenêtre de sa maison. Une maison magnifique, elle était plutôt sombre, mais c'était un sombre élégant. Elle s'était tout de suite sentie chez elle, la première fois qu'elle l'avait visité. Cette magnifique cheminée qui trônait dans le salon. D'ailleurs elle avait allumé cette dernière car le temps c'était refroidi avec cette pluie. Elle consulta son horloge, il était dix-neuf heures. Le jeune homme allait donc arriver dans une heure. Elle n'était vraiment enchanté de recevoir un binôme, mais bon après tout, si c'était un beau jeune homme pourquoi pas, elle espéré que ce n'était pas un de ces professeurs décrépis. Elle allait devoir faire attention pour ne pas dévoiler sa couverture au grand jour avec cet homme chez elle et allait donc devoir cesser toute activité illégale pendant cette courte période. En attendant l'arrivée du garçon, elle monta à l'étage afin de préparer la chambre du professeur. En un coup de baguette magique c'était fait.  Elle regarda de nouveau sa montre, dix neuf heures trente, il n'allait plus tarder, elle demanda alors à son elfe de maison de préparer le dîner. Un petit elfe du nom de Mina, elle était dévouée à Florence et cette dernière l'a traitait avec gentillesse. Étrangement Florence était plus gentille avec son elfe de maison et son chien qu'avec les êtres humains.

Le temps passa et l'heure d'arrivée du professeur fût dépassait d'au moins une heure lorsqu'elle regarda de nouveau sa montre. Décidément à Durmstrang les gens ne connaissent pas la ponctualité. Elle s'impatienta, puis voyant que vers vingt une heure trente il n'était toujours pas là elle décida de ce changer et de mettre son vêtement de nuit, pensant qu'il ne viendrait plus. Elle se vêtue donc de sa nuisette en soie noir et laissa ses cheveux blonds descendre sur ses épaules délicates. Elle était entrain de se brosser les cheveux lorsque son chien loup tchécoslovaque se mit à aboyer fortement. Elle laissa sa brosse sur sa commode et enfila sa robe de chambre en soie noir par dessus ses épaules et prit la direction de son salon. Le chien se mit à japper de plus en plus fort. Hortence ! ça suffit ! Fit-elle d'un ton sévère, le chien s'arrête immédiatement et vain se blottir contre sa maîtresse, Florence fit signe à Mina de ne pas s'approcher. A vingt deux heures elle n'attendait plus personne et ne se doutait pas que se serait ce cher binôme qui serait en face de sa porte. Elle regarda vaguement par la fenêtre et aperçut un beau jeune homme. Elle lui ouvrit donc la porte, mais elle n'eût même pas le temps de parler que le nouveau venu prit la parole aussitôt. Bonsoir, excusez-moi de vous déranger aussi tard, mon nom est Cadeyrn Turner, je suis à la recherche de mon binôme pour la cérémonie d'ouverture, une dénommée Florence... Elle eu un petit sourire en coin, alors c'était donc lui. Visiblement ses prières ont étaient entendu puisque face à elle ce tenait un charmant et très beau jeune homme, mais son charme n'allait pas empêcher Florence de lui sortir ses quatre vérités. Elle le scruta, le laissant ainsi mijoter quelques secondes et vit dans l'expression de son visage qu'il était subjugué par sa beauté, elle sourit doucement avant de lui dire d'un ton calme. L'heure prévue était vingt heures, vous êtes en retard jeune homme. Et oui c'est bien moi je suis Florence Da Vinci, votre binôme. Fit-elle en lui tendant la main. Sa chienne Hortence se mit alors à grogner contre cet inconnu. En effet sa chienne ne supporter pas les étrangers et était très protectrice envers sa maîtresse. Une minute s'il vous plaît. Fit-elle à l'adresse du russe. Elle baissa la tête vers sa chienne qui la regardait et en un regard sa chienne baissa la tête en guise de soumission et parti se coucher dans son panier avec toujours un regard méfiant envers le professeur. Elle se tourna de nouveau vers l'homme et lui fit signe d'entrée et referma la porte derrière lui.
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Message Posté Sam 5 Juil - 19:23.
« L'heure prévue était vingt heures, vous êtes en retard jeune homme. Et oui c'est bien moi je suis Florence Da Vinci, votre binôme. » « Enchanté », répondit-il en serrant cordialement la main de son hôte. « Cadeyrn Turner, professeur de potions à l'institut Durmstrang. Merci infiniment de votre hospitalité, Ms Da Vinci, pardonnez mon intrusion à une heure si tardive. » Son binôme le dirigea vers le salon où il s'avança, toujours sonné d'avoir finalement réussi la trouver. Il ne fit pas attention au chien, pas plus qu'à la décoration somptueuse de la pièce dans laquelle il venait de pénétrer. En vérité, il était toujours subjugué par la beauté de la femme qu'il venait de rencontrer, et se félicitait d'avoir demandé à bénéficier du système de binôme. Cadeyrn n'était en effet pas du genre à rester coincé avec quelqu'un plusieurs jours, et il avait les moyens de se payer une chambre d'hôtel pour son séjour. C'était donc bel et bien par erreur qu'il avait coché la case dans le formulaire d'inscription, erreur qu'il ne regrettait plus du tout.

L'elfe de maison de Florence se précipita pour débarrasser le jeune homme de son manteau, révélant des habits trempés par la pluie. Il fallait dire que Cadeyrn avait passé la journée sous l'eau, et que malgré le rapide sortilège qu'il s'était lancé dessus afin de se sécher le visage avant de rentrer, il n'en demeurait pas moins mouillé des pieds au cou. Il jeta un œil à son hôte. Il était évident qu'elle ne l'attendait plus. Vêtue d'une robe de chambre noire, qui n'enlevait rien à son extraordinaire beauté, elle était vraisemblablement en train de dormir lorsqu'il avait frappé contre sa porte. D'autres sorciers dormaient certainement également. De toutes évidentes, il semblait peu probable qu'une femme seule vive dans une aussi grande maison. « C'est une belle maison que vous avez là » lui fit-il, essayant d'engager la conversation. Il laissa son regard aller sur les murs de la maison, et constata un nombre important de tableaux. Ce n'est qu'en pensant à la peinture qu'il remarqua la singularité de son nom de famille. « Vous êtes de la famille de Léonardo Da Vinci, le célèbre peintre ? » En vérité, il s'en fichait pas mal, et tentait de faire bonne impression, car il était terriblement gêné d'arriver à l'improviste, et aussi tard. Il avait envie d'une douche. Il voulait boire un verre. Discuter. Il n'avait absolument pas envie de se coucher, malgré la journée éprouvante qu'il venait de vivre. Mais il ne demanda rien, conscient d'avoir suffisamment abusé de l'hospitalité de son binôme. « Voudriez-vous bien me conduire à ma chambre, que je puisse y déposer mes affaires ? »  Et il en avait, des affaires. Emilia l'aurait traité de vraie femme, si elle l'avait vu faire sa valise pour une semaine seulement. Heureusement, il l'avait agrandie à l'aide d'une sortilège de vide infini, lui permettant d'emmener l'ensemble de son appartement s'il l'avait souhaité. Il afficha un sourire discret en pensant à Emilia, qu'il ravala rapidement en songeant à ce qu'elle aurait dit en le voyant débarquer chez une femme plus âgée que lui à 23h. Elle l'aurait sermonné ; il l'aurait renvoyée bouler. Et aujourd'hui, les sermons lui manquaient. Sa partenaire lui manquait. Sa mort avait laissé une marque indélébile que le deuil n'avait pas réussi à effacer. Conscient de s'engager dans des pensées plus que néfastes à sa bonne humeur (et pour une fois qu'il l'était, de bonne humeur !), il revint rapidement à ses esprits, en attendant une réponse de Florence, qu'il espérait positive. A défaut de demander à se doucher, il pourrait au moins se sécher sans avoir à se déshabiller devant une femme qu'il venait de rencontrer.
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Message Posté Lun 7 Juil - 17:30.
Enchanté. Oui, c'est ça. Fit-elle froidement, elle ne supporter pas les gens en retard, Elle sermonné même ses patients lorsqu'ils arrivaient avec ne serait-ce qu'une minute de retard. Elle lâcha la main du jeune homme et celui-ci se présentant, de nouveau. Cadeyrn Turner, professeur de potions à l'institut Durmstrang. Merci infiniment de votre hospitalité, Ms Da Vinci, pardonnez mon intrusion à une heure si tardive. Professeur ? C'est l'exemple que vous donnez à vos élèves ? Ne pas arriver à l'heure ? Bref passons. Entrez. Elle lui tournait le dos, sa longue chevelure blonde ondulant derrière elle comme un serpent. Elle s'arrêta net, elle sentait le regard du jeune homme sur elle. Elle esquissa un sourire sur ses lèvres avant de se retourner vers lui. Elle regarda la grande horloge de son salon, il était tard, mais elle ne ressentait pas de fatigue. En effet la vue de se charmant jeune homme avait réveillé tout ses sens. Il était donc impossible pour elle de dormir sachant qu'elle avait un bel étalon à proximité, de plus cela faisait un certain moment qu'elle s'était pas adonné au plaisir de la chair.

Mina se précipita vers le nouvel arrivant, Florence la regarda avec gentillesse Pas la peine de te précipité Mina, nous avons tout notre temps. Mais merci. Elle le déshabilla du regard, il était trempé et allait mouiller ses beaux tapis, il en était hors de question. Tergeo !  fit-elle en pointa sa baguette sur lui pour le sécher. Il semblait un peu plus sec à présent, mais l'eau avait bien infiltré les vêtements du jeune homme et ils restèrent donc encore humides, mais au moins maintenant, il ne tremperait plus les tapis. C'est une belle maison que vous avez là. Elle regarda autour d'elle avant de revenir sur le russe.Oui j'aime vivre dans de grands espaces et puis malgré son emplacement c'est très calme....Heureusement d'ailleurs, je ne supporte pas les enfants et leurs gémissements. Elle l'observa regardait les peintures sur les murs, elle représentait des membres de sa famille. Il y avait plusieurs génération de représentaient, L'un des tableaux représentait son grand-père, celui qui avait instauré leur nom en France, un autre était son père. Il y en avait un d'elle, heureusement sur cette peinture, elle était blonde et non brune. Elle sourit légèrement en les regardants, une légère nostalgie l'envahi alors. La France lui manquait un peu. Vous êtes de la famille de Léonardo Da Vinci, le célèbre peintre ? Elle regarda d'un air surpris, on ne lui avait encore jamais poser cette question, de plus ce jeune homme semblait être cultivé malgré son jeune âge, c'était un bon point pour lui, elle aimait les gens cultivés. Je suis originaire d'Italie comme le célèbre peintre, après je ne suis pas remontée aussi loin dans mon arbre généalogique, mais il y a des chances vu mon nom de famille. Fit-elle fière de ses origines. Elle n'avait pas vraiment envie de connaître la vie du garçon, mais sa curiosité s'accentua. Mais dite moi Turner, ça ne fait pas très Russe, vous êtes un expatrié d'Angleterre ?

Mina, l'elfe de maison de la jeune femme arriva alors vers elle. Florence lui adressa un regard et lui demanda ce qu'il y avait. L'elfe de maison perturbé par la venue si tardive du jeune russe se mit à bégayer lorsqu'elle prit la parole. Madame, j'...j'ai se...servit le dî...dîner. Florence lui adressa un sourire. Merci Mina... Vous ne refuserez pas un bon dîner Monsieur Turner. Fit-elle en insistant sur chaque mot. Après tout il avait était préparer exprès et ça ne se faisait pas de refuser l'invitation d'un hôte surtout lorsqu'on arrive avec autant de retard. Elle regarda un instant. Voudriez-vous bien me conduire à ma chambre, que je puisse y déposer mes affaires ? Elle n'y avait pas fait attention tout de suite, mais elle remarqua en effet qu'il semblait être chargé. Oh ne vous en fait pas pour ça, Mina va s'en charger.... MINA ! Appela-t-elle. Mina veux-tu bien s'il te plaît, apporter les valises de notre invité dans sa chambre, celle juste en face de la mienne. Merci. Florence, lança un sortilège de lévitation sur les affaires du jeune homme pour que la petite elfe de maison puisse les porter jusqu'à la chambre sans peiner. Alors que Mina s'éloigner, Florence attrapa doucement le jeune homme par l'épaule pour l'emmener prés de la grande cheminée, afin qu'il puisse dîner et se sécher en même temps. Installez-vous ici devant la cheminée, ainsi vous allez pouvoir vous restaurez et finir de vous sécher en même temps. Elle s'installa en face de lui dans son grand fauteuil. Elle croisa délicatement ses jambes et s'alluma une cigarette.
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Message Posté Lun 4 Aoû - 18:52.
Il se laissa faire lorsqu'elle lui lança un Tergeo pour faire disparaître les effets de plusieurs heures à courir sous la pluie, et écouta paisiblement sa réponse tout en contemplant les œuvres affichées au mur. « Je suis originaire d'Italie comme le célèbre peintre, après je ne suis pas remontée aussi loin dans mon arbre généalogique, mais il y a des chances vu mon nom de famille. Mais dites-moi Turner, ça ne fait pas très Russe, vous êtes un expatrié d'Angleterre ? » Il sourit et reposa les yeux sur son hôte avant de répondre. « Effectivement, je suis anglais, et j'ai effectué ma scolarité à Poudlard, et non à Durmstrang. » Il marqua une pause, avant de reprendre : « J'ai été muté à l'institut pour remplacer le frère de Thadéus Pritchard, professeur de potions, assassiné par la Résistance. Avant cela, j'étais... hum... sans emploi. » Il se sentit rougir, et se maudit de ne pas avoir trouvé une autre excuse. Sans emploi ? Sérieusement ? Il fit mine de ne pas s'en formaliser mais, devant le regard interrogateur de Ms Da Vinci, bredouilla une excuse à peine croyable. « Problèmes personnels. » Il se débrouillait terriblement mal. Après avoir menti des mois sur sa véritable identité, il n'était même plus capable de s'inventer un passé correctement. Il sentait ce regard, ce désir de la part de Florence d'en savoir plus. Mais il ne dit rien, conscient qu'après tout, le mystère plaisait aux femmes. « Vous ne refuserez pas un bon dîner Monsieur Turner.  » « Avec plaisir », répondit-il avec un sourire tandis qu'on lui indiquait le chemin vers la salle à manger. Son hôte implora son elfe de maison – Cadeyrn n'en avait pas revu depuis une éternité, cette femme devait avoir beaucoup d'argent – de monter ses bagages à l'étage et le jeune professeur surprit un sourire malicieux lorsqu'elle indiqua que sa chambre se trouvait à côté de la sienne. Tout, dans son comportement, le confortait dans l'idée que Ms Da Vinci souhaitait rentrer dans un jeu de séduction qui n'était pas pour lui déplaire. Elle glissa sa main sur son épaule et le dirigea lentement vers la cheminée, à côté de laquelle il pourrait se restaurer tout en terminant de sécher. Tandis qu'il s'installait, son hôte s'assit en face de lui et, tout en croisant les jambes, s'alluma une cigarette. « Ça devient rare, les sorciers qui fument. », déclarai-je, conscient d'avoir brisé un silence gênant.

Quelque chose en elle le fascinait. Il se demanda tout d'abord si elle n'avait pas du sang de Vélane, mais écarta cette possibilité, ayant déjà été charmé par l'une d'elles. Elle était plus âgée que lui, il en était certain. Mais curieusement, pour une fois, cela ne le gênait pas. Il éprouvait une réelle attirance envers elle. Il ne s'agissait pas d'une vulgaire attirance physique. Il y avait sa voix, son regard, et le mystère qu'elle entretenait autour de sa personne. « Alors Ms Da Vinci, puis-je vous demander ce que vous faites dans la vie pour vivre dans un tel palace avec un elfe de maison ? » Son ton avait radicalement changé. Il parlait d'une voix calme, lente, et affichait le même sourire malicieux que son interlocutrice. « Vous permettez ? » Sans attendre, il se débarrassa de son pull-over dans lequel il commençait à avoir beaucoup trop chaud à côté de la cheminée. Il jeta un rapide coup d’œil à Ms Da Vinci qui, malgré sa mesure, ne put s'empêcher de jeter un regard émerveillé au jeune homme en débardeur. Il décida alors de rentrer totalement dans son jeu et de basculer le jeu d'influences. « Oh, j'oubliais ». Il se leva, fit le tour de la table, et s'approcha lentement de son hôte qu'il dévisagea avant de l'embrasser sur la joue. Avant de se redresser, il lui murmura à l'oreille : « Merci infiniment de m'accueillir chez vous ». Puis il fit demi-tour et se rassit à sa place, alors que Mina, l'elfe de maison, apportait les entrées. Ça tombait bien, il avait faim, ce soir.
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Message Posté Mar 12 Aoû - 16:46.
Florence, qui n'avait pas grand chose à faire de se que racontait le jeune homme, l'écouta tout de même. Elle était responsable de son discours puisque c'était elle qu'il lui avait posé la question. Malgré elle, sa curiosité fût de nouveau piquée lorsque le jeune homme annonça qu'avant son poste de Professeur il était sans emplois. Elle lui avait donc lancé un regard inquisiteur, il est vrai qu'il était plutôt compliqué pour les jeunes de trouver un emploi surtout en ces temps sombres. Elle le vit rougir, mais n'y fit guère attention, si il ne voulait pas avoir honte de cela, il n'avait qu'à pas en parler. Elle fût surprise lorsqu'il annonça que c'était dût a des problèmes personnels. Elle trouva cette réponse stupide, tout le monde avait des problèmes et ça n'empêcher pas d'avoir du travail. Une vive pensée parcouru son esprit, elle vit en lui un patient potentiel, si il avait vraiment eu des problèmes personnels, peut-être avait-il besoin de consulter. Un sourire malicieux se dessina sur son visage. Mais elle n'en discuta pas tout de suite, elle se contenta de le conduire près de la cheminée pour qu'il puisse dîner. Lorsque Mina apparût elle vit que son invité la regardait. Il semblait étonnait de la voir ici. J'ai récupéré Mina a son ancien maître, il la maltraité. Sur ceux il s'installèrent devant la cheminée, et après avoir une bouffée de sa cigarette, elle lui répondit. C'est parce que je ne suis qu'à moitié sorcière. Mon père est un moldu.

Elle déposa sa cendre dans le cendrier qui était disposé à sa droite. Elle ne le quittait pas des yeux. Elle était fascinée par sa jeunesse et sa culture. Elle se mordit l'intérieure de la lèvre, elle sentait le désir dans son regard. Elle décroisa délicatement ses jambes et se servit un verre de vin rouge, en cet instant c'était l'alcool le plus adéquat. Elle en but une gorgée et alors qu'elle s'avouerait la descente du vin dans sa gorge, le jeune professeur semblait vouloir en savoir plus sur elle. Elle ouvrit les yeux et se caressa le cou du bout des doigts. Je suis Psychomage réputé à Sainte-Mangouste. J'ai beaucoup de patient. Il demanda la permission de quelque chose, au début elle ne se doutait pas de ce qui allait se passait devant elle, elle n'eût pas le temps de dire quelque chose, qu'il se retrouva vêtu d'un simple débardeur blanc. La sorcière le dévora des yeux et elle ne s'en cacha pas, il fallait être frigide ou lesbienne pour ne pas appréciait un corps aussi jeune et délicieux. Cela faisait quelques temps qu'elle n'avait pas put appréciait un tel corps. La londonienne était friante des jeunes hommes. le dernier qui était passé dans son lit était parti en courant par la suite et n'était jamais revenu, il est vrai parfois qu'elle est des pratiques peut orthodoxe, mais le dernier jeune homme avait accepter. Son âme était juste trop fragile pour les pratiques de Florence. Peut-être que Monsieur Turner lui ne serait pas aussi fragile, elle n'en savait rien. Le voyant se lever et se diriger vers elle sorti de ses pensées, se demandant ce qu'il allait faire, elle laissa s'approchait d'elle et senti son souffle tiède sur sa joue avant d'y sentir ses lèvres, elles étaient si douces et semblaient pures. Elle ne bougea pas d'un centimètre, elle sembla déceler une pointe de jeu dans son comportement, elle eut un sourire amusé, le jeune homme avait envie de jouer, alors ils allaient jouer. Elle regarda retourner sa soirée tout en détaillant chaque partie de son anatomie. Elle bût une nouvelle gorgée et lui dit alors Ce n'est rien, je n'allais pas laisser un aussi beau jeune homme dans la rue. Fit elle en le regardant d'un yeux séducteur, elle regarda la cheminée, même si elle n'était vêtu chaudement ,elle commença à avoir chaud. Elle retira alors délicatement sa robe de chambre en soie noir se retrouvant alors en simple nuisette de soie noire. Une de ses bretelles étaient descendue sur son bras, elle l'a remit donc délicatement en place sur son épaule nue. Elle se leva de son fauteuil et passa à côté du jeune homme lui effleurant l'épaule du bout des doigts, constatant au passage la douceur de sa peau. Elle s'approcha alors d'un vieux tourne disque, elle aimait beaucoup ce genre d'appareil, la qualité du son n'était pas comparable. Elle le mit en route, c'était un disque moldu, c'était de la musique classique, Chopin pour être précis, elle adorait sa musique. Elle resta un moment devant sa le tourne disque, les yeux clos, agitant délicatement ses mains comme si elle le maestro.

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