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james&january △ i belong to you, you belong to me. (don de voyance)
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
January D. Lockhart
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Message Posté Jeu 25 Juil - 22:33.



keep the earth below my feet
from my sway my blood runs weak


★ noms des participants: James Halden & january lockhart
★ statut du sujet: Privé.
★ date: 14 mai 2063 (6 ans plus tard).
★ heure: Vers 20 heures.
★ météo: La nuit tombe. Il  fait bon, il y a une brise tahvu.
★ saison: saison 34.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: NA
★ numéro et titre de l'intrigue en cours:   N/A
★ intervention de dominus:  non connard niark
★ récompenses:   on vivra sans la gloire.  


January D. Lockhart
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Message Posté Jeu 25 Juil - 23:27.
and if you don't believe me
just put your hands on me






Dans cette histoire, il ne pouvait y avoir que deux possibilités. Soit il avait réellement oublié mon anniversaire, soit il me préparait une fête surprise. Dans mon intérêt, j'avais préféré opter pour la deuxième solution. C'était pour ça que je n'avais rien dit quand il ne m'avait pas apporté mon petit déjeuner au lit. C'était pour ça que j'avais souri lorsqu'il avait fait semblant de ne pas comprendre mes allusions. C'était pour ça que j'avais continué à sourire lorsqu'il était parti sans me le souhaiter. A l'hôpital, personne n'avait oublié. Mes collègues m'avaient même préparé un gâteau. Un très mauvais gâteau, mais un gâteau quand même. Et personne ne pouvait refuser l'appel d'un gâteau, pas même moi. Au final, j'avais passé une bonne journée, parce que je l'avais nourrie d'espoirs insensés. J'avais fait des rêves éveillés, et je les avais pris pour des réalités.  J'étais rentrée en pensant que tous mes amis se cachaient derrière la porte. J'avais allumé la lumière en pensant les entendre crier « surprise ». Mais mon sourire s'est retrouvé face à une pièce entièrement vide. Je ne me suis pas laissé démonter pour autant. « Honey ? I'm home.  » Aucune réponse. Peut-être qu'ils s'étaient cachés autrepart. J'ai fait un tour dans la cuisine. J'ai ouvert tous les placards. J'ai regardé dans le frigo, à la recherche d'un gâteau. Rien. Personne. J'ai lancé un regard dans le jardin, mais il était vide. Chaque pièce de notre maison a subi mon inspection. Je partais à la recherche d'indices. Un post it, un mot, quelque chose. Parce que je refusais de croire qu'il avait pu oublier. Je refusais de croire que la magie s'éteignait aussi vite. Je refusais de céder à cette routine qui tuait les mariages. Pourtant, c'était ce qui m'attendait. Et ça me révoltait. « Oh my Merlin, this stupid dwarf really did forget my birthday !  » Je me suis laissée tomber sur le lit. J'étais dépitée. J'avais toujours pensé qu'on était différents des autres. Qu'on vivrait ensemble jusqu'à la fin des temps. Mais peut-être que tout s'effritait déjà. J'avais rien vu venir. J'avais pas senti le vent tourner. Il s'était lassé, et moi j'avais continué à croire aux illusions comme si elles existaient vraiment. Comme une larve pathétique, je me suis recroquevillée sur le matelas en regardant la place qu'il occupait sur le lit. C'est là que j'ai aperçu un endroit dans lequel je n'avais pas encore fouiné. Sa table de chevet. Dans un dernier élan d'espoir, j'ai ouvert le tiroir. Des vieilles clés qui ne servaient à rien. Des préservatifs aux goûts exotiques. Des vieux papiers. Il n'y avait qu'un seul truc de neuf dans tout son bordel, et c'était une espèce de carte de visite. Par curiosité, je l'ai prise. Fluffy princesses, for all your guilty pleasures.. J'ai froncé les sourcils puis j'ai tourné la carte. Un prénom et un numéro de téléphone étaient inscrits au dos du carton. Un prénom de fille. Parce que, personnellement, je ne connaissais aucun garçon qui s'appelait Natasha et qui écrivait au feutre rose. Le petit con. Il s'était bien foutu de ma gueule. J'espérais encore que tout ça ne soit qu'un vaste malentendu. J'avais encore envie de croire que Natasha était une vieille dame qui vendait des sous-vêtements en tricot pour payer sa retraite. Après un moment d'hésitation, j'ai composé le numéro de téléphone.

Une sonnerie. Deux sonneries. A la troisième, je raccroche. Toute cette histoire est ridicule . Ridiculement blessante. « Fluffy princesses, hi, what can i do for you ?  » Ce n'était pas la voix d'une vieille dame. Mais d'une petite chèvre nymphomane de vingt ans. Je me suis raclé la gorge et j'ai pris une voix grave, comme pour imiter celle de James. Je bouillonnais de rage. « Is this Natasha ? Mr Halden speaking.  » J'ai espéré que ça marcherait. Ma voix ne ressemblait pas exactement à celle de mon mari, mais après tout, peut-être qu'elle était assez conne pour y croire. « Yes, of course, I remember. We talked yesterday. What can I do for you James ? » James. Elle l'appelait James. Et ils avaient parlé la veille. Parfait. C'était tout bonnement merveilleux. Le meilleur cadeau d'anniversaire que je pouvais espérer.  « I was calling about tonight I... » Cette petite vache impertinente m'a coupée la parole.  «  Sure, we can get you one within thirty minutes. But you'll need to pay first, it's the house policy. Well you're used to it now, aren't you ? The thing is Elektra's taken for tonight but I can maybe set something up with Pamela Rose.   » J'ai raccroché. J'ai raccroché immédiatement. J'en revenais pas. Non seulement il me trompait, mais comme si ça ne suffisait pas, il me trompait avec des prostituées qui avaient les noms les plus cheap que j'avais jamais entendu. C'était impossible. Comment est-ce qu'un rêve pouvait se briser aussi vite ? Comment est-ce que j'avais pu être aussi naïve ? J'avais pas vu les mensonges. J'avais pas vu les regards changer. J'avais rien vu du tout, et c'était ça le pire. Se rendre compte qu'au fond, j'étais toute seule. Peut-être que je l'avais toujours été.

«  I can't believe this. This damn blond manipulative cheating musketeer from hell.  » Je me suis levée, j'ai ouvert la fenêtre de notre chambre et j'ai commencé à balancer ses affaires dans la rue. Je ne contrôlais plus rien. J'avais tellement mal que j'avais envie qu'il souffre autant que moi. J'avais envie qu'il s'en aille. J'avais plus envie de revoir son visage. Plus jamais. Et c'est là qu'il est arrivé. J'ai lancé ses caleçons dans la rue avant de m'accouder à la fenêtre, furieuse.  «  Don't bother coming in, you're out you pervy donkey.    » J'ai lancé d'autres objets avant de reprendre. «  Go and see Natasha and Elektra and whatever the other girl's name is you stupid  mysoginist  racoon!    »
James L. Halden
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Message Posté Ven 26 Juil - 1:48.



« I like the chance you take, I like the mess you make. »

Le problème des héros, c'est qu'au bout d'un moment, ils n'existent plus. Ils se retrouvent face au poids de tout ce qu'ils ne seront jamais, et on ne peut pas rattraper ça. On doit assumer la douleur. Le désespoir. On doit assumer la souffrance jusqu'à la dernière goutte, jusqu'au dernier instant. Parce que la vérité, c'est que tout peut être perdu en l'espace de quelques secondes. Tout peut se retrouver au milieu d'une grande bataille que personne ne peut remporter. On laisse le vent emporter toutes les choses auxquelles on tient. On laisse le temps nous montrer à quel point il est facile de disparaître. On laisse les minutes nous briser, jour après jour. Et on fini par abandonner cette idée de bonheur. On finit par choisir autre chose. Sauf dans de rares cas, où on possède cette chance là, celle de s'en sortir. On réussit à survivre et on se rappelle que tout est simple. Que tout est récupérable. On se rappelle de toutes ces choses qu'on a pu perdre et de toutes celles qu'on a sauvé. Le temps passe et on sait que ça ne sera jamais suffisant. On sait que ça sera toujours trop peu, et que les visages finiront par se confondre. On sait que les miracles n'existent pas pour tous le monde et que les chants finissent par se transformer en longues prières. Que les mots n'ont plus la même force. Mais on se rassure parce qu'on sait qu'on a la chance de posséder quelque chose que personne ne peut avoir. Une chance qui peut tourner plus rapidement qu'on ne le croit. J'étais sur le chemin du retour, persuadé que ma surprise fonctionnera à merveille. Persuadé que mon cadeau ridicule suffirait parce que j'avais passé des mois à penser à ça.

Malheureusement pour moi, quand je suis arrivé en bas de notre appartement, la seule chose qui s'y trouvait, c'était mes vêments. J'ai levé les yeux vers January, visiblement en rage contre moi. « Don't bother coming in, you're out you pervy donkey. » J'ai froncé des sourcils, incapable de comprendre ce qui se passait. Qu'est-ce que j'avais pu bien faire pour mériter ça ? « Go and see Natasha and Elektra and whatever the other girl's name is you stupid mysoginist racoon ! » J'ai pas pu me retenir. J'ai explosé de rire avant de reprendre mon sérieux, tout en gardant un sourire au visage. La situation était tellement comique et ironique que je ne pouvais m'empêcher de penser à ce qu'elle avait pu faire pour tirer cette conclusion là. Après tout, les lubies de January étaient nombreuses. Parfois trop nombreuses. « Come on, are you even serious right now ? » J'ai levé les bras en l'air. « What the hell are you talking about ? » Elle continuait à jeter des objets et des vêtements. « STOP DOING THIS ! » J'ai soupiré, parce que tout ce qui me restait à faire, si je voulais conserver mes affaires, c'était de vendre la mèche. « This was your birthday present you idiot. » Je me suis retourné, et j'ai vu son cadeau arriver. « Look what's behind me. » C'était une licorne. « Happy birthday. » J'ai gardé le sourire, avant de rire à nouveau. « This was supposed to be a surprise, but since you went through my stuff, you probably saw the card. »
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Message Posté Ven 26 Juil - 3:43.
oblivion is calling out your name
you always take it further than i ever can  






Il a éclaté de rire et ça faisait mal. Ca faisait physiquement mal de le regarder se moquer de moi. Ca faisait mal d'entrevoir tout ce qu'il avait fait pendant que j'avais les dos tourné. Ca faisait mal de voir son sourire, comme s'il s'en fichait de voir tout ce qu'on avait construit tomber en miettes. Comme si ça n'avait jamais compté. Et moi, je ne comprenais plus rien. Je ne comprenais pas ce que j'avais bien pu faire pour en arriver là. Alors je continuais à lancer ses affaires. A écumer la rage dans le désert.  « Come on, are you even serious right now ? »  J'avais envie de hurler. Il me rendait folle.  Il me rendait complètement folle avec sa désinvolture et son sourire à la con. « What the hell are you talking about ? » Il continuait de nier. Il continuait de faire comme si de rien n'était. Comme s'il ne m'avait pas trahie. Alors j'ai balancé tout ce qu'il avait. J'ai balancé les cadres, j'ai balancé les livres, j'ai balancé ses putain de chaussures  et son vieux grille pain qu'il gardait, pour une raison inconnue, dans le placard. « STOP DOING THIS ! »  Non, je n'arrêterai pas. J'avais le droit de m'énerver. J'avais le droit de le chasser. J'avais le droit de le faire souffrir comme je souffrais.  « This was your birthday present you idiot. » Je me suis arrêtée d'un seul coup. J'ai froncé les sourcils. Décidément, il se foutait vraiment de ma gueule. En quoi est-ce que coucher avec trois prostituées constituait un cadeau d'anniversaire ? En rien du tout, voilà la réponse. En rien du tout du tout. Et cet abruti de faquin pensait m'avoir aussi facilement.   « Look what's behind me. »  J'ai poussé un soupir avant de regarder derrière lui. Des yeux ébahis. Une bouche ouverte. Des joues qui rougissent. C'était une licorne. Il m'avait offert une licorne. J'arrivais pas à y croire. Une licorne.  J'étais comme hypnotisée par sa crinière blanche. Par sa pureté dans tout le bordel que j'avais foutu. « Happy birthday. » J'ai posé mon regard sur lui. Il n'avait pas oublié. « This was supposed to be a surprise, but since you went through my stuff, you probably saw the card. »

J'étais tellement heureuse de m'être trompée que j'ai enjambé la fenêtre pour descendre le long de la glycine. Puis j'ai commencé à ressentir de la honte. J'avais douté de lui. Je l'avais accusé de tous les maux. Je me sentais terriblement mal. Comme si je méritais pas ce cadeau, en fin de compte. Comme si je ne méritais rien. J'ai failli tomber plusieurs fois avant d'atterir sur le sol. J'ai couru vers lui pour l'embrasser. Et c'était comme si toute la rancoeur que j'avais envers lui s'en allait avec ce baiser. C'était comme s'il ne restait rien de toute la rage qui m'avait fait perdre la raison. « I'm so sorry.  » J'ai baissé les yeux. J'étais tout sauf fière de moi. J'étais gênée, honteuse, je me sentais conne comme la lune. J'aurais dû lui faire confiance. J'aurais dû l'attendre. Et ça me dégoutait de ne pas être aussi forte que lui. Ca me dégoutait de laisser le passé diriger mes réactions.  « I'm sorry about your stuff. And I ruined your surprise.  » Je me suis aventurée à le regarder dans les yeux.  « I guess this makes me a real blonde... » Puis j'ai détourné le regard. « I just thought... I thought you got bored and you betrayed me. And it hurts because I'm not bored. I love you. I love being your wife. But sometimes I'm just scared you'll leave me because I don't even know what you're doing with me. I'm clumsy, I'm dumb, I'm weird. I guess it just made sense that you'd go to other women. » J'avais honte de mes sentiments. Je détestais aborder le sujet. Mais j'avais toujours eu l'impression de ne pas être assez bien pour lui. Ca me dévorait. Et puis il y avait cette licorne. Cette magnifique licorne qui était trop près et que j'avais envie d'aller voir depuis le début. Je trépignais d'impatience et c'était ridicule. « I'm so sorry, hon', I know this is the time where you're supposed to reply to what I just said, but can I please go and see my unicorn ? » Un grand sourire.
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Message Posté Sam 27 Juil - 19:18.



« This love will take my everything. »

Parfois on a pas le choix. On doit courir pour s'en sortir, on doit se battre contre des choses et des démons qui nous hantent jusqu'à la fin. On doit courir pour retrouver ce qui est perdu. Et on doit comprendre que le temps ne nous obéit pas. Qu'il est à la merci des autres, ceux qui décident de nous briser. Il est à la merci des visages qui nous hantent, ceux qui nous torturent. On a pas peur de vivre le bonheur, on a tout simplement peur de le perdre à tout jamais à cause d'un geste idiot. On cherche quelque chose qui nous sauvera et un jour on fini par saisir l'essence du bonheur. On finit par saisir l'importance de la survie. On finit par comprendre que les visages ne sont que des visages. Que les promesses ne sont que des promesses. Et que les mensonges ne sont que des mensonges. Et les choses sont tout simplement parfois trop compliquée, alors on choisit de les simplifier, de les arranger pour que tout nous convienne. On choisit de changer les choses qu'on ne maîtrise pas, et peut être que c'est la solution finale, celle qui se dessine parmi des millions d'autres. Parmi des milliards d'autres choix. Parmi des mensonges et parmi la réalité. On a peur de comprendre, peur d'assumer la réalité. On a peur de se retrouver face à la solitude d'un instant trop cruel. « I'm so sorry. » J'ai commencé à sourire parce que je repensais à tout ce qu'on avait affronté. On avait dû se battre, on avait dû se détruire. On avait dû changer les histoires, changer la logique. On avait dû perdre pour gagner. On avait dû chanter des mélodies sans la moindre couleur. « I'm sorry about your stuff. And I ruined your surprise. » On a peur de saisir la logique. On avait peur de comprendre. On avait peur de révéler les mensonges. On avait peur de la peur elle-même. On se retourne, on se cache de ces choses qu'on ne contrôle pas. « I guess this makes me a real blonde... » J'ai éclaté de rire. C'était drôle d'imaginer qu'elle pouvait se retrouver à cette place. À cet endroit précis. À cet place qui nous poussait à aller mieux. « I just thought... I thought you got bored and you betrayed me. And it hurts because I'm not bored. I love you. I love being your wife. But sometimes I'm just scared you'll leave me because I don't even know what you're doing with me. I'm clumsy, I'm dumb, I'm weird. I guess it just made sense that you'd go to other women. » J'ai froncé les sourcils. Je ne comprenais pas sa logique. Je ne comprenais pas pourquoi les années semblaient alourdir nos mensonges. Et nos promesses. « I'm so sorry, hon', I know this is the time where you're supposed to reply to what I just said, but can I please go and see my unicorn ? »

Je lui ai souri. Et puis j'ai répondu, comme si c'était tout ce qui me restait. « Go ahead. » Elle était heureuse et c'était ce qui comptait. Elle était heureuse et je ne voulais pas ruiner cet instant parce que c'était tout ce qui lui restait, parce qu'on s'étaient tellement battus pour obtenir tout ça que ça serait cruel de lui retirer. Alors je me battais. Je me battais pour elle. J'acceptais ses lubbies et ses idées. Parce que même si ça semblait stupide, je ne voyais pas où je pourrais me trouver, à part auprès d'elle. C'était la solition qui me restait. La seule qui avait une valeur trop importante pour être ignorée. Elle s'était approché de son cadeau, alors je me suis placé derrière elle. « About what you said earlier, how could I ever be bored with you, I mean, you're January. You want unicorns and you spend half of your life trying to please people you care about, because you love them. I don't how I could… unfall from you. I just can't see myself with another woman. Even if you can be a pain in the ass sometimes. I love you. »
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