VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
Merci à tous pour avoir pris part à cette formidable aventure.

en savoir plus
Le deal à ne pas rater :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où acheter le coffret dresseur ...
Voir le deal

[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS !
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Empty
Message Posté Lun 6 Fév - 21:40.
♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪




STATUT DU SUJET : privé
NOM DES PARTICIPANTS : January & Dougie
DATE : Début du mois de Juin
HEURE : La nuit est tombé
METEO : Pas mal de vent mais pour une soirée à Londres, il fait plutôt bon.
INTRIGUE GLOBALE : N°10 - Revanche !
INTRIGUE DU FORUM : N°09 - Viva la revolucion !
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : Je sais pas. Non sauf si tu veux qu'il pointe son nez ?

Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Empty
Message Posté Lun 6 Fév - 21:58.
[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Oi4n48

« La chose importante dont il faut se souvenir pour transplaner se résume à trois D ! Destination, Détermination, Décision ! » Ces paroles raisonnent dans mon crâne alors qu’autour de moi des cris, des sorts raisonnent, des duels font rages. L’académie française n’est plus un endroit sûr et même si je regrette de ne pas avoir pu partir avec mes proches, je finis par me faire à l'idée de partir seul. Je tente de me dissimuler maladroitement sous les décombres de gradins calcinés. Mon regard s’attarde une dernière fois sur tous ces gens qui courent, trébuchent et se bousculent... et puis finalement, mes yeux se ferment.

Les trois D… Je ne prends pas le temps de peser le pour et le contre du fait que je m'apprête à transplaner. Pourtant je n’ai que seize ans, je n’ai assisté qu’à quelques cours de transplanage jusque là, je me débrouillais plutôt bien… pour parcourir cent mètres. Et voilà que du sud de la France j’essaye de me rendre à Poudlard ou au chemin de traverse… Je ne sais pas encore… Destination ! Le premier D, je dois me décider. Détermination, mon esprit ne pourrait être plus concentré, je n’entends même plus ce qui se passe ici. Décision ! Et me voilà parti. Plusieurs sensations se bousculent. J'ai perdu l'équilibre, je ne sens plus rien autour de moi, j’ai mal à la tête… tellement mal que si je ne devais pas rester immobile je serai sûrement en train de m’arracher les cheveux à cet instant. Je me sens si oppressé, comme si un poids s’abattait sur moi, mais quel poids ? Je suis dans le vide, je suffoque, je suis perdu. Et si je me désartibulais ? Je ne pourrais pas revenir en arrière pour retrouver mon membre, j’ai peut-être fait là la plus grosse erreur de ma vie. Je ne pourrais supporter de perdre un bras, une jambe ou même un doigt. Alors je reste déterminé sur l’espace que je veux occuper… Toutes mes pensées sont concentrées sur ce fait… Je vais où déjà ?

Je sens de nouveau le sol sous mes membres qui à priori m’ont l’air tous présents. Je ne me sens pas à l'aise, ma position avachie sur le sol ne s'y prête pas. Je rouvre doucement les yeux, je vois flou, tout tourne encore dans ma tête. Je glisse mes doigts sur le sol ; il est pavé, pas très propre d'ailleurs, beaucoup de personnes doivent le fouler. L'espace d'un instant je sens mon doigt s'enfoncer dans ce qui m'a l'air d'être un chewing-gum écrasé mais je n'y pense plus une fois mon doigt retiré. Je dois me trouver au chemin de traverse. Je ne cherche pas à me relever, je souffre encore trop. Presque mille kilomètres parcourus en quelques secondes qui me parurent être des heures. Je tâtonne toujours sur mes côtés, je cherche un mur, un coin où m’adosser. Où me protéger aussi peut-être ? Qui sait, les sons ont du mal à me parvenir, je sais que l’endroit est très bruyant, pourtant nous sommes le soir et généralement les boutiques sont fermées à cette heure-ci. L’organisation s'attaque peut-être déjà à Londres.

Ma respiration se fait très bruyante, je ferme de nouveau les yeux et évite de me concentrer sur le bruit pour essayer de retrouver un rythme respiratoire normal. Inspire… expire. Inspire… expire. Si j’avais su que le transplanage me serait si difficile… Et encore j’ai eu l’occasion d’en apprendre un peu. Les années inférieures n’ont aucun moyen de s’échapper de Beauxbâtons actuellement. Mais la résistance y est très présente… ce qui devrait me rassurer, non ?

Je retrouve ma vision. Les gens forment un cercle autour de ma petite personne. Ils parlent mais ne font rien. Ils devraient savoir pourtant ce qui m’est arrivé ? Le chemin de traverse regorge de jeunes diplômés qui doivent connaître la difficulté du transplanage. Pourquoi ne m’aident-ils pas ? Je lève les yeux jusqu’à atteindre leurs visages apeurés. J’examine en suite mon corps, voire ce qu’il aurait de si effrayant … Je saigne, j’ai reçu quelques coups pendant la bataille mais rien de vraiment très grave. Ma main crispée sur ma baguette comme pour m'accrocher à une certitude, je m’efforce de parler. L’organisation secrète… combat… Beauxbâtons. Les mots sortent maladroitement mais ils devraient les comprendre. Pourquoi ne réagissent-ils pas ? Pourquoi ne me viennent-ils pas en aide ? La voix d’une femme me parvint assez distinctement, elle doit s’être rapprochée. Le pauvre enfant… qu’est-ce qui a bien pu lui arriver ? Comment est-il arrivé ici ? Et qu’essaye-t-il de faire avec son bout de bois ? C’est là que je réalise. Je lève les yeux et je me sais maintenant en plein milieu d’une grande place éclairée de toute les couleurs, grouillante de monde ; une place moldus.

Je réalise alors mon erreur… Je me suis foutu dans une merde noire. Comment es-tu arrivé ici jeune homme ?- elle finit par s'adresser aux autres - Quelqu’un l’a vu arrivé ? Appelez les urgences ! Oh non, tout sauf ça. Je me redresse petit à petit, je suis tellement secoué que je ne suis plus sûr si c’est ma tête qui tourne ou bien la place. Je ne sais pas comment réagir : je pleurs ? Je crie ? J’appelle à l’aide en espérant qu’un sorcier se trouve ici ? Une fois relevé je me rends compte que je suis complètement perdu.

je sais pas trop ce que ça donne [PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! 78324 j'ai pas rp depuis longtemps et encore moins à la première personne [PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! 40567


January D. Lockhart
January D. Lockhart
this is the wizzarding world of
J'ai un autre job
informations
J'ai un autre job
[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Giphy
star : Jennifer Lawrence
crédit : Mystique.
lettres postées : 443
date d'entrée : 01/03/2010



[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Empty
Message Posté Mer 8 Fév - 17:20.





Elle avait daigné sortir de son antre. Cloitrée, dans son appartement, ça faisait des jours qu'elle regardait, dehors, Londres s'animer. Sans William, elle était seule, plus seule que jamais. Tyler était à Beauxbâtons, avec les autres. Elle n'avait pas le cœur à se battre. La flamme qui l'avait animée jusqu'à présent s'était éteinte. Elle n'avait plus de force. Plus rien. Et elle pensait à lui. Et elle pensait à eux. Et elle n'y arrivait plus. A faire comme si tout allait bien. Elle n'avait plus la force de s'inquiéter pour les autres. Repliée sur elle même, elle s'était enfermée dans un mutisme sans fin. Plus d'étincelles dans son regard. Plus de sourire sur son visage. Trop de sorciers étaient morts. Et si William faisaient partie d'eux, à présent ? Plus rien n'était sûr. Plus rien n'était clair. Elle avait froid, mais sa peau ne réagissait pas au vent qui s'infiltrait dans sa chambre. Un mur invisible s'était batit autour d'elle. Elle était prisonnière de ses propres souvenirs, alors même qu'elle n'avait pas retrouvé la mémoire.

Elle alluma la radio. Ils attendaient tous la troisième tâche. Elle, elle savait. Elle savait que c'était le début de la fin. Que tout se jouait là. Mais eux, ils n'en avaient aucune idée. Elle avait trouvé les gobelins, elle les avait amené au ministre. Elle avait assisté à l'entente cordiale. Elle savait que la donne avait changé. Elle savait qu'il y avait de l'espoir. Alors pourquoi est-ce qu'elle ne le ressentait pas ? Elle plongea sa tête entre ses mains. Son regard tomba sur une photo. Tyler, William et elle. Tyler faisait la tête, comme à son habitude. William le taquinait. Et elle, elle souriait. Un rictus anima son visage. Elle ouvrit les rideaux. Elle enfila son manteau. Mis les pieds dans des bottes. Elle ne ressemblait à rien. Mais plus rien ne comptait. Il fallait qu'elle sorte, qu'elle aille prendre l'air, qu'elle se retrouve, enfin.

***


Elle avait longé les quais de la Tamise. Le vent avait soufflé dans ses cheveux, détachés. Elle marchait d'un pas rapide. N'hésitant pas une seconde à bousculer les autres. Perdue dans la foule de Picadilly Circus, elle se sentait plus seule que jamais. Alors elle avançait, encore. Et puis soudain, des mots. Décousus. Une voix. Elle s'arrêta net.

L’organisation secrète… combat… Beauxbâtons.

Immobile dans le mouvement de la foule, elle regardait autour d'elle, essayant d'identifier d'où venaient les paroles. La magie la suivait même chez les moldus. Elle avait l'air paniquée. Si paniquée qu'on lui demanda plusieurs fois si elle allait bien. Elle ne répondait pas. Elle se dirigeait, parmi les passants, réagissant aux sons de cette voix qu'elle ne connaissait pas. Son regard s'attarda sur une masse qui semblait s'être regroupée autour de quelque chose. Elle se fraya un passage parmi les londoniens. Un jeune homme se relève. Elle ne réfléchit pas. Elle fonce. Comme toujours.

« Ah te revoilà ! J'ai cru que je t'avais perdue, frérôt ! »

Elle adressa à l'inconnu un grand sourire. Illusion malheureuse. Elle dévisagea les autres.

«   C'est bon, je m'occupe de lui. Circulez, ya rien à voir.  »

Elle soupira et prit le jeune homme par la main, oubliant toute forme de politesse. Elle était sûre que c'était lui. Etait-ce Matvei qui l'avait envoyé ? Non. Il semblait perdu. Comme s'il ne savait même pas comment il s'était retrouvé là. Elle l'entraîna avec elle dans les rues perpendiculaires au carrefour. Elle voulait être tranquille. Loin des moldus. Loin de tout. Elle voulait savoir. Et si il avait vu William ? Et s'il était là bas ? Avec eux ? Soudain, elle s'arrêta.


«  Tu viens de Beauxbâtons, n'est-ce pas ? Comment tu as réussi à t'échapper ? Qu'est-ce qu'il se passe là bas ?  »

Elle était sèche. Froide. Elle avait perdu toute forme d'humanité. Elle ne se reconnaissait plus. Ses lèvres tremblaient. Elle était sous le choc. Elle dévisagea le garçon. Il était pâle. Elle rougit et ouvrit la bouche, surprise par son propre comportement. Elle venait de se rendre compte qu'elle avait été extrêmement malpolie.

«  Grand Merlin ! Je suis désolée ! Je suis extrêmement désolée ! Je ne me suis même pas présentée ! Je m'appelle January. Lockhart. Oui, comme l'écrivain. C'est mon grand oncle. Voilà, comme ça c'est dit. Tu te sens bien ? Tu es blanc, non, gris comme un fantôme ! Oh je suis navrée, tu as du me prendre pour une folle. Assieds toi sur le rebord, là. Je suis infirmière à Sainte Mangouste... Enfin, ce qu'il en reste....  »

Elle le fit s'asseoir et posa sa main sur son front. Elle se sentait stupide. Elle tenta de garder le sourire, mais l'effet ne tint pas longtemps. Elle mourrait d'envie de lui demander s'il avait vu William, ou même Tyler. Mais il fallait attendre qu'il se remette de ses émotions.

«  Tu as transplané jusqu'ici ?  »






Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Empty
Message Posté Mar 21 Fév - 14:55.
C’est sûr, c’est fini. J’ai transplané pour rien, tous ces efforts réduis à l’état de cendres, je n’ai plus qu’à espérer que d’autres ont réussi à prévenir les autres. Je suis debout, je regarde tous ces visages curieux qui me fixent avec une sorte de dégoût, ou je-ne-sais-quoi, j’ai ce sentiment bizarre que leur ignorance m’insupporte, qu’ils sont là, à se tenir devant moi comme si j’étais une bête de cirque, qu’ils ne savent pas qu’à quelques kilomètres de Londres ou bien déjà dans Londres la guerre fait rage. J’ai envie que le monde entier ressente la peine que j’ai à porter, tous mes amis entre la vie et la mort, tous ces sorciers qui se battent pour défendre des inconnus et qui périront peut-être en le faisant. Je suis perdu alors j’attends, j’abandonne, j’hésite à m’étaler de nouveau sur le sol, mais ce serait trop faire plaisir à ces ignares que de mettre un peu de piment dans leur vie. Je me sens injuste vis-à-vis d’eux… N’ai-je pas le droit de l’être dans de telles circonstances… ? Non. Mes pensées sont horribles, je ne suis pas comme ça. Alors je reste immobile, impuissant.

Mais là j’ai peur, une femme s’approche, elle m’adresse un sourire qui ne dégage rien de vraiment sincère. Je me sens incapable de parler, de me débattre. Elle m’appelle frérot ? Aussi loin que mes souvenirs remontent je n’ai pas de sœur. À moins que le transplanage fut plus violent que je ne l’avais imaginé. J’ai peut-être perdu la mémoire ? Ou bien peut-être ai-je passé les sept dernières années de ma vie confiné dans l’hôpital ? Peut-être que la magie, l’organisation secrète n’existent pas, peut-être n’est-ce que le fruit de mon imagination ? Okay, je suis parti bien trop loin là. Je me reconcentrer et regarde la fille, peut-être est-elle membre de l’organisation ? Elle souhaite me faire taire ! Malheureusement son intervention était inutile, je reste incapable d’aligner deux mots, elle m’attrape la main assez violemment, sans se soucier de la douleur que cela me procure, ce qui me conforte dans mon idée. Elle m’éloigne de la foule, dans un endroit où personne ne peut nous entendre. Les derniers regards que j’avais fait aux moldus ne les avaient pas mis sur la voix, ils ont eu leur dose de bizarreries pour la journée, retour à la vie normale et on ignore le gamin qui n’est sûrement qu’un fugueur.

Enfin seuls, la jeune fille me balança plein de questions, bon pas tant que ça, mais dans mon état j’étais incapable de vraiment les comprendre. Je me sens oppressé, mal-à-l’aise, comme si je subissais l’interrogatoire, que dis-je, la torture d’un des membres de l’OS. Il me faut reprendre des forces pour avoir l’occasion de m’enfuir plus tard, alors pas question de me débattre pour le moment. Calmement, je me prononce sur chaque question qu’elle a prononcé d’un ton si dur que chacun de ses mots finit par résonner dans mon crâne. J’acquiesçais à la première question d’un simple hochement de tête. Je répondis à la deuxième par un seul mot : transplanage et à la troisième par une larme coulant sur ma joue. Pas sûr qu’un membre de l’OS comprenne ceci comme une personne normale, mais c’est la seule chose qui me vint en pensant à la guerre. Ma voix tremblante trahissait mon insécurité et mon manque de confort. J’haletais et manqua de m’évanouir tellement je me sentais faible.

Mais la situation s’inversa. Je la vois rougir et surprise, elle comprenait visiblement la crainte qu’elle m’avait inspiré. Alors elle s’excuse, elle en fait des tonnes, se présente comme la nièce du « grand » Lockhart, à sa place c’est la dernière chose que je dirai en me présentant et j’en serai peu fière, mais bon, la famille ! Elle s’inquiète pour moi, je laisse apparaître un sourire sur le coin de mes lèvres, je suis rassuré. Elle me fait remarquer mon teint pale, je doute avoir à m’excuser de ne pas avoir passer du temps au soleil dernièrement… Enfin je comprends qu’elle parlait des effets du transplanage difficile, oui effectivement je ne suis pas en très bon point mais mon incapacité de parler tout à l’heur avait du la mettre sur la voie.

Toujours le sourire aux lèvres, je bascule mon visage de droite à gauche en signe de négation lorsqu’elle me dit que j’ai dû la prendre pour une folle… Une folle ? Non, juste comme l’ennemi principal de la nation, mais je me garderai bien de le lui dire. Mais je ne peux m’empêcher de lâcher un énorme soupir de soulagement lorsqu’elle me dit être infirmière. J’évite de relever sa dernière phrase préférant ne pas visualiser Ste Mangouste en feu et les victimes que cela accompagne. Comme elle me l’a si gentiment proposé, je me laisse tomber de tout mon poids contre le mur auquel je m’adosse difficilement tout en essayant de trouver une position un tant soit peu confortable. Je soupir à nouveau, sentent mon énergie revenir petit à petit et j’écoute attentivement les paroles de la jeune femme.

Je prends une grande inspiration pour pouvoir lui répondre, je ne retiens plus mes larmes qui coulent silencieusement sur mes joues pâles. J’ai transplané du mieux que j’ai pu. Je n’ai pas le permis. Je n’ai même pas 17 ans… mais c’était le seul moyen, je voulais aller à Poudlard ou au Chemin de Traverse… en aucun cas je n’ai souhaité atterrir ici. À Beauxbâtons c’est la guerre… Je suis incapable de vous dire comment ça va finir, aucun des deux partis n’avaient pris l’avantage à mon départ. J’essuie mes larmes du mieux que je peux mais je ne peux m’empêcher de laisser sortir un gémissement au moment de soulever mon bras. L’espace d’un instant je m’attarde sur le visage de la jeune fille qui m’a porté secours et réalise à quel point elle est jolie, quoiqu’un peu négligé côté vestimentaire… Disons que sur ce point, je n’ai pas trop mon mot à dire avec les lambeaux qui me servent de vêtements. Je réalise d’ailleurs que mon t-shirt se réduit à un tissu sur mon épaule et que mon pantalon est déchiré de toute part. Mes joues se mettent à rougir et je tente du mieux que je peux de dissimuler mon corps avec mes bras…

désolé du temps de réponse j'ai eu un empêchement :x
Contenu sponsorisé
this is the wizzarding world of
informations



[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS ! Empty
Message Posté .

[PM] ♪ Padam ! Padam ! Padam ! ♪ Il arrive en... ♪ en... FRACAS !

T H E R E . I S . N O T H I N G . L I K E . L O N D O N :: Season one :: RPS

Réponse rapide

pour répondre plus vite que le vent, t'as vu !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: