VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
Merci à tous pour avoir pris part à cette formidable aventure.

en savoir plus
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM]
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Lun 9 Jan - 21:41.
« il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes. »





STATUT DU SUJET :privé
NOM DES PARTICIPANTS : Niels Werner & Eowyn C. Peterson.
DATE : 9 mai 2056.
HEURE : dans la nuit, aux alentours de 22H.
METEO : le ciel est dégagé.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : Intrigue globale oo9.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : Intrigue oo8.
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : non merci, on va faire assez de dégâts à deux.

Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Lun 9 Jan - 22:03.
Le silence assourdissant, vide de toute vie, de toutes pensées. Voilà ton quotidien depuis presque une semaine, depuis que Reagan est morte. L'appartement est froid, si froid. Même le Red Lantern a perdu de sa vigueur depuis que ton étoile a disparu. Tu tournes en rond, la cherchant désespérément quelque part dans un recoin de ton esprit, espérant entendre la sonorité caractéristique de ses pensées.
Tu la vois encore, dansant là, à côté du canapé, rangeant les courses, prenant son petit-déjeuner en riant. Elle était douce Reagan, si forte et si fragile à la fois. Tu n'as pas pu assister à son enterrement, sa famille ne sait pas, ne connait pas l’existence de cette vie misérable qu'elle supportait depuis son arrivée à Londres. Tu l'aimais ta petite flamme, celle qui avait rallumé la vie en toi, celle qui te rappelait si bien ta Kendra.

    Ce soir, Alexei t'a poussé dehors.
    « Tes cernes repoussent les clients, va dormir Eowyn. »


Comment ? Le sommeil refuse de se joindre à toi, tu as tout essayé, un joint, puis une pilule. Rien. Pour la première fois depuis des années tu ne parviens plus à te contrôler. Tu ne sais pas quoi faire, toi la divine Eowyn, celle qu'on compare au soleil, tu es perdue. Recroquevillée sur ton canapé tu ne parviens même plus à pleurer, ton corps s'est comme asséché au cours des derniers jours.
Ton regard se pose alors sur une photo posé négligemment sur le coin d'une table. Niels.
C'est ton petit-ami non ? son rôle est bien d'être là quand tu es au plus bas ?
Sans plus hésiter tu attrapes un manteau et dans un pop sonore que tu ne peux entendre tu atterrie devant sa porte. Le sept sur la porte se balance, bancal, comme toi en ce moment. Sur le point de frapper, un éclair de lucidité te traverses soudain. Ouvrant ton esprit, tu le lances vagabonder au travers de l'appartement. Deux esprits désordonnés te parviennent. Évidemment, tu aurais dû t'en douter, Niels Werner ne dort jamais seul. Mais ce soir n'est pas comme d'habitude, ce soir, tu as besoin de lui.

Ouvrant violemment la porte, tu commences à lancer injures sur injures, te faisant probablement passer pour une hystérique. Ta peine t'aveuglerais presque dans ce moment de grande comédie, te concentrant sur l'esprit de la pauvre petite proie du journaliste, tu fouilles au plus profond d'elle cherchant la faille, celle qui la ferait déguerpir sur le champs. Et tu trouves. La télépathie n'est pas que la lecture de l'esprit d'autrui, elle permet également de transmettre ses propres pensées aux autres, et c'est ce que tu fais sans retenue, faisant presque hurler de terreur la pauvre enfant.
Tu sais que Niels va t'en vouloir, tu connais le rituel. Une dispute, une claque, éventuellement un verre brisé, puis un baiser et son lit. Mais ce soir, tu n'en as pas envie.

    « Dehors ou tu deviendras folle. »


Ta voix était étrangement posée, accentuant l'impression de menace. Déjà, tu sens bouillir l'esprit de Werner sous la surface, tu le sens probablement prêt à exploser, ou à rire ce qui t'agacerait probablement plus encore. Attrapant son paquet de cigarette, tu en allumes une attendant que le calme revienne dans le petit appartement. La soirée vient à peine de commencer.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Jeu 1 Mar - 22:25.
    Quelle saloperie.
    Il lui restait une heure avant de partir travailler pour la RITM, disons que ce cher Waldy avait pas été très clément quand il lui avait fait le décompte de toutes ses absences injustifiées au cours du dernier mois, et il avait décidé de la passer à faire quelque chose d'infiniment utile : baiser. Bien oui. Il avait réussi à lever la petite nouvelle à la Gazette et il fallait bien en profiter avant qu'elle n'ait réellement vent de sa réputation, ou qu'elle passe à la casserole avec un autre avant lui. Il aimait bien avoir la primeur, que ce soit sur les nouvelles ou les personnes qu'il emmenait entre ses draps.
    Et Eowyn était arrivée, comme une furie, hurlant des injures.
    Rien de mieux pour vous casser un moment.
    Le brun reposa la tête sur son oreiller, la jeune femme étant sur lui lorsque la télépathe avait fait sa spectaculaire entrée, toujours le goût du drame ces demoiselles, attendant patiemment qu'Eowyn finisse de faire fuir la jeune gratte-papier avant de se lever du lit. La brunette attrapa ses vêtements en pagaille et les enfila sans demander son reste, disparaissant de la chambre en laissant Werner seul avec Eowyn. Seul avec l'esprit agité de la rouquine, il pouvait le sentir distinctement, et seul aussi avec sa propre colère qui enflait. Il n'aimait quand elle venait l'empêcher de s'amuser librement, ou quand elle faisait irruption irruption chez lui sans prévenir. C'était pas le Ministère, ici, elle prévenait avant d'entrer. Il se leva et s'étira comme un chat, ses yeux plantés dans ceux de sa petite amie. Petite amie, quelle connerie. Allons, qu'est-ce qui va pas, ma charmante ? Silitch t'a mal baisée, ou Theÿs t'as refilé de la merde ? C'est pas la peine de te fâcher pour si peu. Un rire mauvais, autant audible que mental. Il s'approcha d'elle, totalement nu et aucunement gêné de son état, et vola sa cigarette d'entre ses lèvres, lui volant un baiser risqué au passage avant de planter la cigarette entre ses lèvres et de partir de la chambre. Direction cuisine. Pour se remettre d'une baise avortée, rien de mieux qu'un petit remontant alcoolisé pour se remettre dans le droit chemin.

    Mon appartement, c'pas tes jambes, il s'ouvre pas à n'importe quelle heure et pour rien du tout. J'espère que t'as une bonne raison d'être ici, ou je te fous dehors, je dois bosser, bientôt. Il attrapa la bouteille de whisky pur feu qui traînait sur le comptoir, ainsi que deux verres à peu près propres, et les remplit généreusement. Un pour lui, un pour la belle, si elle le buvait et ne le lui balançait pas à la figure.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Ven 9 Mar - 21:30.
Connard.
L’insulte avait fusé dans ton esprit quand Niels avait abordé la drogue. Il n’était pas le mieux placé pour te faire des reproches à ce sujet-là, d’ailleurs il était mal placé pour donner des conseils à tous les niveaux. Il était probablement le pire salopard que la Terre n’avait jamais porté, pourtant tu y étais attachée. Tu aurais dû avoir peur de le mettre en colère, toute personne normalement constituée évitait en général de mettre en colère un tueur à gage de la mafia, mais toi non. De toute façon tu devais mourir prochainement, peut-être à la prochaine crise qui se déclarait, alors que ça soit fait proprement par ton petit-ami ou par une maladie débile, quelle différence ?
Tu l’observes te prendre la cigarette et te laisse embrasser, passive. Ta colère n’avait été que fictive, à présent tu étais aussi calme que possible, uniquement tourmentée par le vide qu’avait laissé Reagan.

Tu es bien heureux qu’elles s’ouvrent à toute heure du jour ou de la nuit pour ton bon plaisir chéri. Te relevant de la table, tu t’approches du journaliste à présent de dos et te colle contre lui. Si tu as besoin de sauter quelqu’un, choisit au moins quelqu’un dont la peur la plus profonde n’est pas de se faire éventrer par une licorne.
Un rire inaudible à tes oreilles franchis tes lèvres tandis que tu récupères ta cigarette bien entamée. Ton regard glisse sur chaque parcelle du corps de Werner tandis que tu souris toujours, presque inconsciente du danger. Il était en colère, mais ça lui passerait, comme toujours.
D’une démarche féline tu lui tournes le dos et part t’asseoir sur son lit, votre lit, leur lit, qu’importe. Sur le lit ou il te rejoindra, très certainement, afin d’assouvir la fin de son désir.

Devant cette scène, tu retrouves un peu de ton assurance perdue, celle qui te fait rayonner, qui fait que tous les hommes te désirent. J’avais besoin de toi. La phrase était lancée simplement, pas la peine de passer par quatre chemins malgré sa colère Niels avait probablement senti que ton esprit était agité.
Tu avais du mal à contrôler ta télépathie et petit à petit une légère douleur pris naissance au centre même de ton cerveau, là où ton anomalie était située, impossible à soigner. Incurable. Mortel.
Dans ta poche, un cachet, le dernier. Tu devras retourner chez Millsworthy te procurer tes médicaments. Avec un peu de chance Louis te ferait une avance. Tu te relèves à nouveau et attrapes le verre généreusement rempli. Cul sec.
Puis tu t’en sers un deuxième que tu avales aussi rapidement que le premier.


Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Jeu 28 Juin - 20:00.
    Difficile de savoir s'il aimait Eowyn. L'amour était un sentiment un peu abstrait, pour lui, et celui amoureux encore plus. Il l'aimait bien, dans tous les cas. Il aimait ses répliques, qui avaient le don de désamorcer une situation. Niels éclata de rire, franchement, et but une gorgée de son verre d'alcool. T'es ma préférée, tu le sais bien. Même quand elle l'interrompait dans ses ébats avec une autre qu'elle, il ne pouvait être fâché bien longtemps contre elle. Toujours la réplique pour lui renvoyer en pleine figure ses idioties et sa langue de vipère. Le journaliste lui tira la langue, enfantin. Merci, Ô grande Eowyn, de m'avoir sauvé des griffes de cette fille apeurée par les licornes. Je t'en serai toujours reconnaissant. Il termina son verre et le reposa sur le comptoir dans un claquement de verre, ainsi qu'un de langue, manifestant son appréciation du breuvage. Il allait devoir penser à en racheter, d'ailleurs, de l'alcool...

    Il la suivit jusqu'à sa chambre, mais sa déclaration le fit s'arrêter, une expression interloquée sur son visage. Besoin de lui. Pourquoi ? Les gens n'avaient jamais besoin de lui de cette façon... Ils avaient besoin de lui pour devenir gardien du secret, père de famille interposé, pour menacer des gens, pour ses capacités et non pas sa propre personne. Là, c'était autre chose. Niels posa la bouteille qu'il avait emmenée sur sa table de chevet, au milieu des Mornilles éparpillées et des cigarettes un peu brisées, et s'assit sur le lit, face à Eowyn, juste avant qu'elle se relève. Hého. Fallait pas que ça devienne un jeu... Il l'attrapa par la main après qu'elle ait fini de boire un peu trop rapidement, Assis-toi Eowyn, et la fit s'asseoir devant lui. Presque sur lui, en fait, toujours nu, mais retrouvant son calme de plus en plus. Il avait senti l'agitation de l'esprit de la rouquine et même la petite pointe de douleur, quand elle lui parlait. Et il était certes brusque avec elle, vulgaire, et il ne savait pas non plus s'il l'aimait, ou s'il éprouvait juste une grande affection pour elle, mais elle n'allait pas bien et il ne savait pas pourquoi. Altruiste ? Non. Pas vraiment. Juste... enfin. Il était comme ça, tout simplement. Inquiet pour ses proches, disons. Le baiser qu'il lui donna, au goût de cigarette et de whisky, fut plus profond, moins volé. Il avait certes envie d'elle, difficile de lui enlever le sexe de la tête et encore plus avec elle, mais ce n'était pas de ça dont elle avait besoin, apparemment... Pourtant. On a toujours besoin de sexe. Niels appuya son front contre le sien, donna un baiser sur le bout de son nez, taquin, avant de se reculer un peu et de s'étendre dans le lit. Qu'est-ce qui se passe ? La voix de son esprit était plus inquiète, plus paisible. Il passait littéralement du tout au tout et il récupérait son calme typique, plus rassurant que ses explosions de colère.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Jeu 12 Juil - 19:34.
Assis-toi Eowyn. Il ne te laisse pas le choix et te fais asseoir de force sur ses genoux. Il était loin d’être tendre, ou doux. Non, Niels n’était absolument pas l’archétype de l’homme parfait mais c’est pour ça que tu appréciais être avec lui. Ses sautes d’humeurs ne te faisaient pas peur et hormis quelques situations très particulières tu n’étais absolument pas d’une nature jalouse rendant votre relation possible. Maintenant que tu allais devoir parler, tu n’étais plus certaine de ce que tu voulais. C’était plutôt rare comme situation que la belle Eowyn hésite. Mais la nouvelle vague de douleur qui s’abat sur ton esprit t’oblige à enfoncer tes ongles parfaitement limés dans la peau de Werner et à serrer les dents.

C’est comme une aiguille enfoncé profondément dans ton cerveau, grattant l’intérieur de ton crâne avec un bruit aigu résonnant dans ta tête. Tes crises sont de plus en plus rapprochées, tes capacités sont diminuées, tu le sens au Red Lantern. Tu passes plus de temps à dormir la fatigue étant devenue ton ombre. Au fond de toi, tu le sais Eowyn. Bientôt, tu ne seras plus qu’un légume incapable de faire quoique ce soit d’utile.
Ton regard troublé par la douleur se pose sur Niels. A-t-il réussi à comprendre ou te forcera-t-il à prononcer ces mots que tu hésites tant à dire ? Tu veux que ce soit lui et personne d’autre, le meilleur, Mockingbird. Pas de traces, pour ta famille tu seras simplement partie faire un très long voyage sans prévenir personne, pour la mafia ? un problème en moins, tu en sais trop un jour où l’autre ils auraient de toute façon décidés de t’éliminer. Non, il faut que ça soit Niels qui abrège tes souffrances. Malgré ta souffrance tu tentes de rassembler tes forces afin de prononcer ces quelques mots dans l’esprit de ton amant mais rien n’y fais. Tu ne contrôles pas ta télépathie à cet instant. Alors, tu es obligé d’utiliser ta voix. Cette voix que tu n’utilises qu’en de rares occasions. Cette voix qui aujourd’hui et devenue rauque et coupante quand auparavant elle était douce et suave.

    « Je veux … quand le moment sera venu … que tu … me tue. Je ne veux pas devenir un légume Niels. »


Tes mots auraient probablement l’effet du bombe sur le mafiosi qui venait à peine de se calmer de l’affront que tu venais de lui faire en chassant son coup d’un soir. Il devait accéder à ta requête autrement tu serais dans l’obligation de t’adresser à une autre personne de la mafia. Ce n’était pas les tueurs qui manquaient dans ton entourage et Werner le savait parfaitement. Pourquoi est-ce que tu désirais si fort mourir par lui ? Tu ne le savais pas. Mais pour toi c’était la chose la plus logique qui soit. Et puis, le tout donnait un petit côté tragique de plus à ta mort qui te plaisait assez. Oui, jusqu’à la planification de ta mort Eowyn, tu restais dans le spectacle.



Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Ven 13 Juil - 16:55.
    « Tu veux que je te tue ? »

    Il avait parlé à voix haute. Il savait que si elle ne pouvait entendre sa voix, elle pouvait parfaitement lire sur ses lèvres. Lire dans toute sa personne, même. Dans son corps subitement raidi, ses yeux surpris, choqué. La voix d'Eowyn était une rareté et même dans ses plus grands accès de colère, elle ne l'utilisait que rarement, laissant ses syllabes rauques et coupantes uniquement pour les moments le splus graves. Comme celui-ci, par exemple. Le mafioso se releva un peu et la regarda. La tuer. De quelqu'un d'autre, il aurait pu le prendre comme une blague – surtout venant d'un mafioso. Pourtant, là, non. Pas en ce moment, pas de cette façon, pas venant d'elle. L'homme ouvrit la bouche, comme pour demander pourquoi, mais la referma vivement.
    À quelque part, il comprenait.

    Werner n'était pas homme qui remarquait tous les détails, mais The Britain lui en avait parlé. Il lui avait dit qu'Eowyn faisaient plus souvent des crises, au Red Lantern, et que si ça continuait, ils allaient l'écarter des spectacles. Ils avaient peur pour les clients, mais surtout pour elle. Et si elle devenait subitement folle et tentait de se tuer ? De tuer les autres ? Et si elle tombait inanimée sur la scène ? Et si n'importe quoi ? Je ne veux pas devenir un légume Niels. Et son prénom, utilisé si doucement.
    Il savait qu'il en supporterait pas de la laisser devenir un légume.
    Le brun hocha la tête positivement. Se rassit. Captura ses lèvres, encore, laissa ses mains descendre sur ses épaules, se perdre dans sa crinière de boucles de feu, caresser ses seins, sa taille, ses hanches, la coucher sur son lit, passer sous ses vêtements, la chatouiller du bout des doigts, laissant sa réponse en suspends. Il avait peur, peut-être, de dire oui. La mort. Il la côtoyait tous les jours. Il la vivait depuis dix ans. Il en avait fait son travail. Et pourtant, al donner à un de ses proches, ça, Mockingbird en était encore incapable.

    Ça allait être la première fois.

    « D'accord. »

    Cette confirmation, le mafioso avait l'impression que même elle avait pu réellement l'entendre. Comme si sa voix avait passé la barrière de sa surdité. Il était d'accord. Le moment venu, il la tuerait. Elle disparaîtrait, sans aucune trace, et lui seul aurait le souvenir de cette demande. De cette nuit.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Ven 13 Juil - 19:55.
Lentement tu te laissas aller sous les caresses de Werner, profitant peut-être pour l’une des dernières fois de ta vie. Petit à petit, tu étais en train de prendre conscience de ta demande Eowyn, tu allais mourir, et peut-être même par ces mains qui se baladaient actuellement sur ton corps. Tu savais que la requête que tu venais de formuler à Niels était difficile, il avait beau être un tueur, assassiner quelqu’un que l’on connaît n’était pas chose aisée.

Lentement, tes yeux se rouvrirent quand il prononça le mot qui allait faire basculer toute ta vie. « D’accord. ». Il te tuerait, sans laissé de traces, Eowyn –Sense- Peterson allait disparaître pour toujours. Presque soulagée de savoir que ta mort serait rapide et sans douleur, tu passas ta main sur le visage de Werner. Merci. Voilà tout ce que tu étais capable de prononcer à ce moment-là. Comme si le mal qui te rongeait avait compris, voilà que la douleur s’estompait petit à petit. Tu finiras ta vie en beauté Eowyn, fière et belle. Tous se souviendront de toi comme le soleil qui illuminait le Red Lantern,

Tout en douceur tu posas tes lèvres sur celle de Niels, pour le remercier d’accéder à ta demande. Ce n’était pas facile pour lui, et tu en étais consciente Eowyn. Mais tu le voulais lui et seulement lui. Personne d’autre ne devait voir ta faiblesse. C’était bien là la preuve de ton attachement envers celui qui allait abréger tes souffrances. Il venait de t’offrir ton plus beau cadeau, une sortie sereine et indolore du théâtre de la vie où tous les jours tu jouais ton rôle. Demain, il te faudra envoyer un dernier cadeau à Kendra, ta sœur. Oui, demain est un autre jour. En attendant, maintenant que tu es dans le lit de Niels, tu comptes en profiter.


Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté Ven 13 Juil - 20:22.
SUJET TERMINÉ
Contenu sponsorisé
this is the wizzarding world of
informations



« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM] Empty
Message Posté .

« serres-moi encore, serres-moi, jusqu'à étouffer de toi. » ; Niels & Eowyn [PM]

T H E R E . I S . N O T H I N G . L I K E . L O N D O N :: Season one :: RPS

Sujets similaires

-
» Here I am ! [PV Niels - Vera - Az]
» This one's for the faithless { Niels - défi }
» Retombons en enfance (défi) { Niels
» Y'a qu'au café, qu'on n'sait plus c'qu'on fait ! | Niels & Caro' Werner [PM]
» DON DE VOYANCE : Vera&Niels + qui veut ! [PM] Ils firent beaucoup d'enfants ... et se marièrent ensuite !

Réponse rapide

pour répondre plus vite que le vent, t'as vu !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: